Rafraichir la liste des Recentes Discussions sur ABIDJANTALK FORUM
Coupe d'Afrique des Nations    by Aristide ba… 23 Jan 2024, 13:19
Côte d’Ivoire : stèle de Boua…    by Rytchie 14 Sep 2023, 22:01
Quand l'OTAN menace d'interve…    by Aristide ba… 27 Sep 2022, 9:23
La vie en hiver en Europe. Je…    by Aristide ba… 15 Sep 2022, 9:44
La France re-installe Compaoré    by Aristide ba… 11 Jul 2022, 7:29
Les vrais barons de la drogue…    by sam kehi,le… 8 Jun 2022, 4:50
Les laboratoires en Ukraine, …    by Observateur… 6 Jun 2022, 16:21
Ukraine - Points faibles des …    by Aristide ba… 1 Jun 2022, 10:42
Mali: Comment Macron fera chu…    by Aristide ba… 30 May 2022, 10:09
Le sénateur Français Christia…    by Aristide ba… 17 May 2022, 8:04
Morceau choisi: Frantz Fanon    by sam kehi,le… 28 Apr 2022, 18:29
Racisme en Ukraine : les blan…    by Observateur… 2 Apr 2022, 14:20
... autres recents topics


Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

L'arbre à palabre où tous les problemes se reglent
Martin Féral
Son Excellence
Son Excellence
Messages :2003
Inscription :oct. 16, 06 6:00 pm
Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Martin Féral » sept. 12, 18 2:50 pm

C'est comme cela qu'ils ont agi au cours de la crise avec les déchets toxiques.
MF

https://www.ivoirebusiness.net/articles ... see-ariane

SCANDALE ENVIRONNEMENTAL EN CÔTE D’IVOIRE ! : M. OUATTARA AUTORISE DES DÉCHETS DE LA FUSÉE ‘’ARIANE 5’’ EN COTE D’IVOIRE ? LA FIDHOP EXIGE DES EXPLICATIONS !
Publié le Mercredi 12 Septembre 2018.
Par IvoireBusiness - SCANDALE ENVIRONNEMENTAL EN CÔTE D’IVOIRE ! M. OUATTARA AUTORISE DES DÉCHETS DE LA FUSÉE ‘’ARIANE 5’’ EN COTE D’IVOIRE ?
LA FIDHOP EXIGE DES EXPLICATIONS !
1- LE GROSSIER SCANDALE QUI ACCABLE LE RÉGIME-OUATTARA :
Le Journal ‘’CONFIDENTIEL AFRIQUE’’ (voir les référence du Site d’information à la fin de la présente Déclaration), dans sa parution du 9 Septembre 2018, révèle ce qui suit.
« Au large des eaux ivoiriennes dans la partie Zone Économique Exclusive (ZEE), les éléments de la fusée ARIANE 5, se sont déversés, transformant la mer ivoirienne en un véritable dépotoir polluant. Cette opération a été exécutée le 7 septembre dernier, dans la plus grande discrétion, en dehors de la Présidence, des Affaires Étrangères et du Secrétariat permanent interministériel de l'Action en Mer, qui étaient informés de cet essai en mer ivoirienne.
Confidentiel Afrique s'est procuré en exclusivité la Lettre d'information de l'Ambassade de France à Abidjan en date du 23 août 2018 et celle du Secrétariat du Comité permanent interministériel de l'Action en Mer, parlant de cette affaire d'État, cachée au grand public. (…)
À l’heure où la planète subit les effets des changements climatiques et que les décideurs et citoyens du monde se battent pour préserver l’environnement, la Côte d’Ivoire s’offre en cobaye de l’Europe pour tester les éléments de la fusée ARIANE 5. »
Devant une telle révélation-accusation, l'une des plus scandaleuses et inimaginables, pour une Côte d’Ivoire qui a déjà subi les effets tragiques du déversement des déchets toxiques du BROBO KOALA en août 2006, ayant causé plusieurs dizaines de morts et des dizaines de milliers de personnes intoxiquées et empoisonnées à vie ;
La FIDHOP (la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie politique), au nom de ce que les Ivoiriens ont aussi « Droit à un Environnement sain », s’interroge, interroge le Gouvernement ivoirien et annonce quelques actions qu’elle entend mener.
2- DES INTERROGATIONS LÉGITIMES :
Tout comme le journal d’investigation ‘’CONFIDENTIEL AFRIQUE’’, la FIDHOP soulève les mêmes questions :
Que peut bien cacher cet essai de la fusée ARIANE ?
Pourquoi les eaux ivoiriennes ont-elles été ciblées ?
Y’a t-il une compensation financière ?
Mais surtout : pourquoi cette opération a-t-elle été cachée aux populations ivoiriennes qui sont pourtant exposées aux conséquences qui pourraient en résulter ?
Face à toutes ces interrogations, la FIDHOP exige des explications au Gouvernement ivoirien et la FIDHOP annonce quelques actions qu’elle entreprendra en France, à travers la Fidhop-France.
3- DES DÉMARCHES A MENER PAR LA FIDHOP :
Au regard de la gravité de cette révélation-accusation, la FIDHOP décide :
- La FIDHOP rencontrera dans les jours à venir, les Ministres Français des Affaires Étrangères et en charge de l’Environnement.
- La FIDHOP exigera du Gouvernement Macron/Édouard Philippe des garanties fermes pour la sécurité des populations ivoiriennes face aux conséquences prévisibles des déchets d’‘’ARIANE 5’’.
- La FIDHOP, au cas échéant, saisira le Commission des Droits de l’Homme et de l’Environnement de la COMMISSION EUROPÉENNE, ainsi que celle des NATIONS UNIES, pour exiger de l’État français des réparations, si ce n’est déjà le cas.
- La FIDHOP en appelle à la plus grande vigilance des populations ivoiriennes, qui seront tenues informées de la suite de ses démarches concernant ce dossier et des actions futures à mener.

VOICI LE LIEN DU JOURNAL :
http://confidentielafrique.com/…/cote-d ... cobaye-deg…/
Fait à Rome, ITALIE, le 12 Septembre 2018
Dr BOGA SAKO GERVAIS
•Enseignant-Chercheur à l’Université de Côte d’Ivoire ;
•Ex-Secrétaire Exécutif de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI)
•Président de la Fondation Ivoirienne pour la Démocratie, Les Droits de l’Homme et la vie Politique (FIDHOP) ;
•Ecrivain-Politique
Quand on te qualifie de bon, ce n’est pas parce qu’on ne voit pas tes fautes. On ferme simplement les yeux pour t’aider à grimper



Avatar de l’utilisateur
Beauté Nubienne
Son Excellence
Son Excellence
Messages :9858
Inscription :juil. 02, 09 8:20 am

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Beauté Nubienne » janv. 20, 19 9:57 am

http://news.abidjan.net/h/392088.html

Les dernières confidences d’Houphouët à son espion


Publié le mardi 22 fevrier 2011 | Le Temps

Devoir de mémoire. Le Temps réédite pour ses lecteurs, les confidences du premier Président ivoirien à un de ses proches. C’est un document du journal hebdomadaire Le Phénix paru, du lundi 9 au dimanche 15 décembre 2002. Bonne lecture !

«Je suis pratiquement au soir de ma vie et il est impérieux que je vous livre quelques informations capitales pour préserver la Côte d’Ivoire d’une éventuelle rupture sociale après que je ne sois plus. En effet, je me rends en France pour subir une intervention chirurgicale et je ne puis vous dire si je vais revenir vivant. Ainsi, vous pourriez utiliser à des fins utiles ces révélations, si je rentrais, si je rentrais effectivement silencieux de la France. Voilà pourquoi je vous ai fait appeler d’urgence. Sachez à toutes fins utiles que mon ambition majeure pour la Côte d’Ivoire, notre beau pays, a toujours été de l’élever au rang de pays fortement industrialisé, doté d’infrastructures modernes qui le rendraient totalement indépendant. C’est pourquoi, je me suis investi à faire de la Côte d’Ivoire un pays économiquement fort, avec le cacao et la café qui font la fierté du pays. Malheureusement, la France et ses alliés vont user de tous les moyens pour arrêter cette noble ambition que j’ai pour mon pays. Ils vont donc former spécialement des jeunes cadres africains, dont Alassane Dramane Ouattara, pour m’assassiner et détruire la Côte d’Ivoire.

Mais avant de vous dire qui est Alassane, sachez d’abord à partir de quand la Côte d’Ivoire va connaître ses réels problèmes

En effet, du 11 au 15 janvier 1978, je reçois en visite officielle d’amitié et de travail, le président de la République française d’alors, Valéry Giscard D’estaing. Je lui ai fait visiter toutes les infrastructures de la Côte d’Ivoire. Ainsi, de retour en France, Valéry fait rassembler le G7 pour décider des procédures de destruction de la Côte d’Ivoire. Car elle pourrait devenir le miroir du monde si rien n’est fait pour l’arrêter dans son évolution. Mais cette décision ne rencontre pas l’adhésion de l’Angleterre qui n’en voyait pas l’utilité. C’est à partir de ce moment que les prix de nos matières premières, en particulier, le café et le cacao vont chuter considérablement, et cela perdure. Mais le G7 ne s’arrête pas à cette seule action, il va multiplier les coups d’Etat contre ma personne.
Mais à partir de 1981, avec l’arrivée de François Mitterrand à la tête de l’Etat français, les tentatives et actions de déstabilisation de la Côte d’Ivoire vont beaucoup durcir et s’intensifier. C’est ainsi que François Mitterrand va profiter de l’asile politique du jeune Laurent Gbagbo en France en 1984, pour le persuader d’un coup d’Etat contre moi. Mais Gbagbo, profondément patriote, refuse de détruire son pays qu’il aime tant. Alors Mitterrand et le G7 vont recruter le jeune Alassane Dramane Ouattara, fonctionnaire au Fmi, pour l’action de déstabilisation et de destruction de notre cher pays. Car, connaissant parfaitement les origines burkinabé de celui-ci, ils le sentaient capable d’un tel comportement. Alassane est alors invité en France en 1984 pour expliquer son travail au Fmi pour l’Afrique, devant plus de 40 chefs d’Etat, pendant une conférence de presse.
Mais comment Alassane est-il arrivé au Fmi ?

En effet, de 1973 à 1983, sur intervention du président voltaïque d’alors, Sangoulé Lamizana, je nomme Alassane à la Bceao successivement comme chargé de mission, conseiller spécial du gouverneur, Directeur des études et vice-gouverneur en 1983. En 1982, je demande à mon ministre de l’Economie et des Finances d’alors, Aboulaye Koné de décorer le jeune Voltaïque Alassane pour son dynamisme au travail. Aussi, le 1er novembre 1984, avec ma bénédiction et mon appui spécial, il est nommé fonctionnaire au Fmi. Egalement, pour lui témoigner toute mon affection, après la mort de Aboulaye Fadiga, ex-Gouverneur de la Bceao, je nomme Alassane comme nouveau gouverneur de cette Institution. Mais chacun de vous se demande pourquoi et si c’était de gaieté de cœur que j’ai nommé Alassane Dramane Ouattara comme Premier ministre de la Côte d’Ivoire.
C’est essentiellement par souci de préservation de la Côte d’Ivoire d’une implosion sociale, à l’avènement du retour au multipartisme en 1990, ainsi sur intervention du G7 et des Institutions de Bretton Woods, je nomme d’abord, Alassane comme président du comité interministériel le 18 avril 1990, ensuite comme Premier ministre en novembre 1990.
Mais avant de le nommer comme Premier ministre, Alassane s’engage par écrit à rester en dehors de la politique ivoirienne, en s’occupant uniquement de redresser l’économie, même après ma disparition.

Pourquoi ai-je exigé cela de lui ?

C’est parce que Alassane n’est pas Ivoirien, mais plutôt Voltaïque (Burkinabé), d’origine. En effet, Alassane Dramane Ouattara est né à Noumoudara qui signifie en Tiéfo, sa langue maternelle, village de forgerons en ex- Haute-Volta (Burkina Faso). Noumoudara est dans le canton de Sindou, de la subdivision de Banfora, qui est du cercle de Bobo-Dioulasso. Il a pour père feu Ouattara Djika et pour mère feue Boro Bintou, tous deux Burkinabè d’origine. Alassane est jumeau, son frère est mort à sa naissance, ce qui entraina, également la mort de sa mère. Ainsi, Alassane fut élevé par Tabili Ouattara, la deuxième femme de son père, jusqu’à l’âge de 4 ans. C’est à cet âge également que le cousin et ami de son père, Tiécoura Ouattara, affectueusement appelé Mossi Ouattara à Dimbokro, comme cuisinier de l’administrateur colonial de l’époque.
Retenez également que Alassane a fait le cycle primaire et secondaire, après l’école coranique en ex-Haute-Volta, actuel Burkina Faso. Il a obtenu son Bac au Lycée Zinda. Kaboré Alassane est parfaitement conscient de ses origines voltaïques. J’en veux pour preuves le document signé de lui et qui se trouve entre les mains d’une personne digne de confiance dont je vous révélerai le nom dès mon retour de la France.

Maintenant, je vais me permettre de vous indiquer quelques points utiles de la procédure suivie par Alassane pour accéder au pouvoir.

En effet, comme je l’ai indiqué tantôt, Alassane, le Monsieur Afrique du Fmi, est invité à Paris par François Mitterrand et le G7, en vue de prononcer une conférence explicative sur son travail au Fmi pour l’Afrique. C’est à cette occasion, qu’en aparté, François Mitterrand et le G7 vont confier à Alassane la mission destructrice de la Côte d’Ivoire. Mais n’étant pas Ivoirien, donc ignorant les réalités du pays, c’est Dominique Ouattara née Dominique Folloroux Nouvian, qui est choisie pour aider Ouattara à réussir sa mission. Voilà comment elle va se re-trouver auprès d’Alassane. Ainsi, par l’intervention personnelle de celle-ci auprès de moi, je demande l’accord du président Thomas Sankara pour que Alassane soit nommé vice-gouverneur de la Bceao, au compte du Burkina Faso. Mais pour mener à bien sa mission de destruction de la Côte d’Ivoire, Ouattara va demander à être Ivoirien en m’adressant une lettre à cet effet, sur conseil de Dominique Ouattara. Je me contenterai seulement de lui faire établir un passeport de travail, tout en lui promettant la nationalité ivoirienne par décret de naturalisation, lequel décret n’a jamais été signé de moi et qui se trouve entre de bonnes mains. Notez que Dominique Ouattara, Juive d’origine mais Française de nationalité, est la clé qui ouvre les portes à Alassane. Une tâche à laquelle elle s’attelle avec finesse. Elle va même jusqu’à éliminer physiquement l’ex-Gouverneur de la Bceao, feu Abdoulaye Fadiga qui était son amant, rien que pour permettre à Alassane d’être le nouveau Gouverneur de cette institution ; lequel poste que ce dernier convoitait depuis fort longtemps, pour m’avoir adressé plusieurs correspondances à cet effet. Car, dans son entendement, personne ne lui contesterait ses origines ivoiriennes, vu que ce poste a toujours été dévolu à un Ivoirien de pur sang.

Vous vous demandez certainement pourquoi Mme Ouattara a autant de faveur auprès de moi ?

C’est tout simplement parce qu’elle a ma confiance par son ardeur au travail, son efficacité, mais surtout sa discrétion. Car elle a travaillé avec moi dans bien de domaines que je ne puis vous dévoiler maintenant. Retenez seulement que c’est elle qui gère mes biens immobiliers à travers le monde entier. J’ai même fait d’elle mon homme de confiance. Voilà pourquoi, elle bénéficie de tant de faveur auprès de moi. Mais, vu mon âge beaucoup avancé et mon état de santé qui ne fait que se dégrader, je vous demande d’ouvrir grands les yeux sur elle, car c’est une espionne de haut niveau. Elle a toujours su se donner les moyens qu’il faut pour atteindre son objectif. Souvenez-vous que pour permettre à Ouattara d’être le Gouverneur de la Bceao, elle a éliminé Fadiga par empoisonnement. Elle a usé également des mêmes moyens pour faire disparaître Vamoussa Bamba, mon ancien ministre de l’Education nationale qui était aussi son amant, afin qu’elle puisse librement épouser Alassane. Bien que je sois à ce mariage entre elle et Ouattara, je leur donnai tout de même ma bénédiction. Remarquez que ce mariage faisait partie du plan de destruction de la Côte d’Ivoire, d’où ma réticence. Car il fallait que Ouattara bénéficie d’une solide formation politique, laquelle formation il pouvait trouver à mes côtés puisque étant marié à mon homme de confiance. C’est alors que dans le cadre du Programme d’ajustement structurel et de Relance économique en Côte d’Ivoire, sur recommandation personnelle du président François Mitterrand et le G7, je nomme Ouattara comme président du Comité interministériel le 18 avril 1990. Il est bon de signaler dans le cadre de ce programme, Ouattara va travailler en étroite collaboration avec Daniel Kablan Duncan. Car Duncan avait déjà travaillé avec Alassane à la Bceao, c’est lui qui a formé Ouattara quand il faisait ses premiers pas dans cette Institution. Voilà pourquoi le Fmi a exigé sa collaboration. Il est plus aguerri qu’Alassane. Ainsi dans le cadre de ce programme, Ouattara passa au point déterminent de sa mission de destruction de la Côte d’Ivoire, et moi avec ; c’est la naissance de Polices des banques de l’Uemoa. Cette structure avait pour objectif de geler tous mes avoirs. Pendant six mois, le transfert des Fonds était bloqué en Côte d’Ivoire ; il n’y avait ni export ni import d’argent en espèces. Même le citoyen ne pouvait recevoir ni faire partir de l’argent. Toutes les issues étaient bloquées. C’est pour contourner cette énorme difficulté que j’accepterai, sur recommandation du G7 et des Institutions de Bretton Woods, de nommer Ouattara comme Premier ministre en novembre 1990, rien que pour mieux le contrôler. Retenez surtout que toutes les fois que j’ai nommé Ouattara à un poste stratégique, j’ai toujours pris mes dispositions. A la Bceao, Charles Konan Banny, Ivoirien authentique était son adjoint avant d’en être le gouverneur maintenant. Maintenant qu’il est Premier ministre, j’ai modifié l’article 11 de notre Constitution en faisant du président de l’Assemblée nationale, Bédié, comme président de plein droit de la République de Côte d’Ivoire, au cas où la mort m’emportait. Je pose tous ces actes rien que pour éloigner cet imposteur du pouvoir politique, vu qu’il n’est pas Ivoirien. Il vous appartient de faire en sorte qu’après ma disparition, la Côte d’Ivoire puisse toujours subsister à cet imposteur. Car il emploiera tous les moyens pour arriver à ses fins, offrir la Côte d’Ivoire à Mitterand et au G7. Voilà qui est réellement Alassane Ouattara.

N b : Alassane Dramane a été élevé ensemble avec son demi-frère Kélétigui Ouattara, ex-champion de boxe en 1963 en Haute-Volta. Il est le premier fils de Tabili Ouattara, la rivale de la mère d’ «Alassane Dramane Ouattara».

In l’hebdomadaire Le Phénix
du lundi 9 au dimanche 15 décembre 2002
L'argent n'a pas d'odeur mais ça se sent quand on n'en a pas !



Avatar de l’utilisateur
Beauté Nubienne
Son Excellence
Son Excellence
Messages :9858
Inscription :juil. 02, 09 8:20 am

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Beauté Nubienne » janv. 20, 19 10:01 am

https://eburnienews.net/il-etait-une-fo ... es-cenach/

Il était une fois Alassane Dramane Ouattara le vagabond (Par James Cenach)


Né le 1er janvier 1942 à Dimbokro, en Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara est retourné avec son père, dans les années 50, en Haute-Volta, où il a effectué ses études scolaires, qu’il a poursuivies à Philadelphie, aux États-Unis d’Amérique, en tant que boursier au titre de la Haute-Volta dont il a obtenu les documents officiels.
L’intéressé lui-même affirme s’être rendu aux USA en 1962 pour y poursuivre sa scolarité, muni d’un passeport ordinaire voltaïque (Jeune Afrique n°1812 du 28 septembre au 4 octobre 1995 p. 67). Sur place, il s’est fait recenser comme étudiant voltaïque et sa carte de sécurité sociale délivrée par les autorités américaines en octobre 1962 porte le n°165-40-9295 Jeune homme âgé de 20 ans, il a été, en mars 1962, peu avant son départ pour les USA, convoqué pour satisfaire à ses obligations militaires, a été recensé dans le premier contingent des Forces armées voltaïques naissantes sous le numéro matricule 62/824 FAV de la classe de 1962, avant de bénéficier d’un sursis. Les registres des Forces armées, encore disponibles au Faso, qui peuvent être consultés sans déplacement, en attestent.

Une fois ses études terminées aux USA, il a été recruté, en tant que citoyen voltaïque, au poste d’économiste principal au Fonds monétaire international en avril 1968. À chacune de ses promotions au sein de cette institution, la presse panafricaine, particulièrement Jeune Afrique, l’a toujours présenté comme un national de la Haute-Volta sans que cela soit démenti. Les livres de référence du FMI disponibles à Washington au siège de l’institution le présentent aussi sous cette nationalité. Haut fonctionnaire de la Haute-Volta, Alassane Ouattara a bénéficié de deux passeports diplomatiques de ce pays sous les n° 457 du 23/12/1973 et n°DPL/1478 du 10/09/1985.

Les dossiers pour l’obtention de ces documents contenant bien un certificat de nationalité voltaïque de l’intéressé sont, eux aussi, disponibles au Faso, et les registres chronologiques du ministère des Affaires étrangères qui les a délivrés mentionnent que l’intéressé a la nationalité voltaïque ou burkinabée. Dans le cadre de ses visites de travail dans les pays africains, du temps où il était agent FMI, Alassane Ouattara a séjourné, du 2 au 9 janvier 1988, en Côte d’Ivoire, a produit à la réquisition de la police des frontières des documents officiels burkinabés pour justifier de son identité et de sa nationalité, a rempli et signé de sa main les fiches de police en y indiquant librement la même nationalité. À l’hôtel ivoire où il a séjourné, les mêmes informations ont été données. Ces fiches dont copies ont été portées à la connaissance de l’intéressé sont disponibles dans les archives de la police nationale et à l’hôtel Ivoire.
L'argent n'a pas d'odeur mais ça se sent quand on n'en a pas !



Avatar de l’utilisateur
Beauté Nubienne
Son Excellence
Son Excellence
Messages :9858
Inscription :juil. 02, 09 8:20 am

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Beauté Nubienne » janv. 20, 19 10:04 am

https://eburnienews.net/cest-quel-ivoir ... vril-1999/

C’est quel Ivoirien ça? (Par Venance Konan, 30 Avril 1999)


« OU EST TON VILLAGE ? »(30 Avril 1999)
Il y a quelque chose de pathétique dans les constantes références de Djéni Kobina à Alassane Dramane Ouattara. Surtout après l’entrée de Monsieur Adama Coulibaly au gouvernement. A l’entendre, ce qui lui a le plus fait mal, ce n’est pas qu’il n’ait pas été informé mais qu’ADO ne l’ait pas été. ADO, le messie, pour l’arrivée duquel il faut nettoyer les écuries, rendre droits les chemins tortueux, aplanir les collines, boucher les trous.

Djéni Kobina, leader politique, chef d’un parti représenté au Parlement ne fait donc de la politique que pour préparer la voie à un homme miraculeux qui viendra guérir tous les maux de la Côte d’Ivoire, avec bien entendu lui-même à sa droite et sans doute l’impayable Ben Soumahoro à sa gauche. Et ADO, en homme providentiel qu’il est, ne parle pas. Pourquoi se fatiguerait-il ? Djeni parle pour lui. ADO est le père spirituel du RDR, disent les militants de ce parti. Le dieu de ce parti.

Et en bon dieu qu’il est, il ne saurait s’adresser directement aux hommes. A-t-il jamais tenu un meeting ? A-t-il jamais montré un quelconque intérêt à l’égard de ceux qui sont prêts à mourir pour lui ? A-t-il jamais montré un quelconque intérêt pour ce pays qu’i dit être le sien avant d’être parachuté Premier Ministre, et depuis qu’il ne l’est plus ? Quant il arrive dans ce pays qu’il prétend vouloir diriger serait probablement trop salissant pour le grand fonctionnaire international qu’il est.

Ou alors, la réalité est tout autre. Il ne se sent pas chez lui ici. En Côte d’Ivoire tous les hommes politiques ont un fief. Houphouët avait Yamoussoukro, Bédié à Daoukro, Fologo à Sinématiali, Adama Coulibaly à Korhogo, Gbagbo Laurent à Ouragahio, Zadi Zaourou à Soubré, etc. Aujourd’hui, chaque ivoirien, qu’il soit en côte d’Ivoire ou à l’étranger, est fier d’avoir son village, fût-il petit ou grand, d’y aller aussi souvent que possible, de participer à son développement.
L'argent n'a pas d'odeur mais ça se sent quand on n'en a pas !



Avatar de l’utilisateur
Beauté Nubienne
Son Excellence
Son Excellence
Messages :9858
Inscription :juil. 02, 09 8:20 am

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Beauté Nubienne » janv. 20, 19 10:11 am

http://www.koaci.com/m/tribune-alassane ... 328-i.html

TRIBUNE: Alassane Ouattara est-il Burkinabè ?


:: 24 novembre 2010 :: Article posté librement par un Koacinaute::

Le débat sur les origines douteuses du candidat Alassane Ouattara que les ivoiriens avaient oublié refait surface. Cependant, il est question de preuves implacables, listés ci-dessous (NB : les preuves ne sont motivées par aucune démarche partisane visant à confirmer ou infirmer la nationalité d’un individu. Mais sur une enquête menée de manière professionnelle)

Les différentes preuves qui circulent :

1- L’acte de naissance falsifié ? : Alassane Dramane Ouattara est né en décembre 1941 à Sindou au Burkina-Faso (et non à Dimbokro en Côte d’Ivoire). Un nouvel acte de naissance a ensuite été falsifié, où il est inscrit qu’Alassane Dramane Ouattara est né le premier jour du mois de janvier 1942 à Dimbokro (enquête basé sur des données hagiographiques). Puis, Alassane Dramane Ouattara a présenté, dans ses divers documents administratifs, deux femmes différentes comme étant ses mères. Sur son jugement supplétif (acte de naissance), la mère de Ouattara s’appelle Nabintou Ouattara née à Odienné. Mais, dans le dossier qu’il a présenté au Conseil constitutionnel en l’an 2000, sa mère s’appelle cette fois Cissé Nabintou née à Dabou.

2 - La biographie comme témoignage :

* En mars 1962, il est convoqué pour satisfaire à ses obligations militaires. Recensé dans le premier contingent des Forces armées voltaïques naissantes sous le matricule 62/824 FAV de la classe de 1962, il a par la suite bénéficié d'un sursis. Les registres des Forces armées, encore disponibles au Burkina-Faso, qui peuvent être consultés sans déplacement, en attestent.

* Le dénommée Alassane Dramane Ouattara s’est rendu à Philadelphie aux Etats-Unis pour y poursuivre ses études. Il obtint une bourse d’étude de la Haute-Volta au titre d’étudiant Voltaïque (les documents officiels sont disponibles au Ministère de l‘éducation du Burkina-Faso actuel).

* Le « The Directory of Fellows » est un livre officiel qui dresse la liste des étudiants boursiers africains qui ont étudié aux Etats-Unis, pays par pays et qui a été réalisé avec les données fournies par « African Graduate Fellowship Program » ( grâce à l’Institut Africain-Américain pour le Bureau Africain de l’Agence de Développement International).On peut bien lire à la page 10 (photo ici présent), le nom de Alassane Dramane Ouattara parmi les 40 étudiants burkinabés listés dans cette édition. Alassane Ouattara est de la vague A03, c’est à dire de l’année académique 1965-1966. Il y est mentionné qu’il a eu une maitrise en économie en mai 1967 et un doctorat en mai 1972 à l’Université de Philadelphie dans l’Etat de Pennsylvanie. Rappelons qu’un Etudiant ivoirien ne peut donc pas par erreur écrire sur sa fiche d’inscription qu’il est Burkinabé à partir du moment où le passeport en lui seul ,peut arriver à tout reparer

* Les autorités américaines ont enregistré Monsieur Dramane Ouattara au service de l’immigration (the « American Immigration Services ») au titre de Voltaïque muni d’un passeport de la Haute-Volta. L’intéressé à lui-même affirmé en 1995, s'être rendu aux Etats-Unis en 1962 muni d'un passeport ordinaire voltaïque (“Jeune Afrique.” n°1812 du 28 septembre au 4 octobre 1995 p. 67).

* Sa carte de sécurité sociale américaine délivrée par les autorités américaines en octobre 1962, qui porte le n°165-40-9295 mentionne que l’intéressé est burkinabé.

* Haut fonctionnaire de la Haute Volta, Alassane Dramane Ouattara a bénéficié de deux passeports diplomatiques de ce pays sous les n° 457 du 23/12/1973 et n°DPL/1478 du 10/09/1985. Les dossiers pour l'obtention de ces documents contenant bien un certificat de nationalité voltaïque de l'intéressé sont, eux aussi, disponibles au Burkina-Faso, et les registres chronologiques du ministère des Affaires étrangères qui les a délivrés mentionnent que l'intéressé a la nationalité voltaïque ou burkinabè.

* Dans le cadre de ses visites de travail dans les pays africains, du temps où il était agent FMI, Alassane Dramane Ouattara a séjourné, du 2 au 9 janvier 1988, en Côte d'Ivoire. A la réquisition de la police des frontières, il a produit des documents officiels burkinabè pour justifier de son identité et de sa nationalité, a rempli et signé de sa main les fiches de police en y indiquant librement la même nationalité. A l'hôtel Ivoire où il a séjourné, les mêmes informations ont été données. Ces fiches, dont copies ont été portées à la connaissance de l'intéressé, sont disponibles dans les archives de la police nationale de Côte d’Ivoire et à l'hôtel Ivoire.

* Avant d’être gouverneur de la BCEAO, Alassane Dramane Ouattara a été successivement vice-gouverneur de la BCEAO (janvier 1983 à octobre 1984). Or dans la répartition des postes entre les pays membres de la Banque Centrale, celui de gouverneur est réservé à la Côte d’Ivoire, quand celui de vice-gouverneur est dévolu au Burkina Faso.

*A la fin des années 1980, le Front monétaire international (où travaillait Ouattara) impose aux pays des Politiques d’ajustement structurel (PAS) et des éléments du FMI dans les administrations africaines pour mener à bien cette politique. F.Houphouet Boigny va faire appel au Dr Alassane Ouattara qu’il a sauvé d’une déchéance de sa nationalité burkinabé selon M. Cissé Bacongo, en lui accordant de justesse la nationalité un passeport ivoirien. A la mort du gouverneur Abdoulaye Fadiga qu’Houphouët avait l’intention de nommer Premier ministre, le Président a donc fait appel à cet illustre inconnu pour lui succéder et en faire plus tard son Premier ministre. L’origine de M. Ouattara n’a jamais fait l’objet d’un doute.

3 - Les affirmations douteuses :

* Alassane Ouattara réputé être né de parents burkinabés et a lui même déclaré lors d'une manifestation pour son investiture à Cocody qu'il était fier d'avoir pu exercer à la BCEAO et au FMI en tant que ressortissant burkinabé

* L’intéressé à affirmé en 1995, s'être rendu aux Etats-Unis en 1962 muni d'un passeport ordinaire voltaïque (“Jeune Afrique.” n°1812 du 28 septembre au 4 octobre 1995 p. 67).



93297
Vue(s)
Auteur : Akwa Bahi
L'argent n'a pas d'odeur mais ça se sent quand on n'en a pas !



Avatar de l’utilisateur
Beauté Nubienne
Son Excellence
Son Excellence
Messages :9858
Inscription :juil. 02, 09 8:20 am

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Beauté Nubienne » janv. 20, 19 10:18 am

https://www.ladepechedabidjan.info/QUI- ... 10681.html


QUI EST ALASSANE DRAMANE OUATTARA LE GÉNOCIDAIRE?


Aux ivoiriens, il a commencé au début de sa saga, à se présenter comme étant le fils de Nabintou Cissé puis de Nabintou Ouattara. Expliquant, face à la curiosité des Ivoiriens, qu’il s’agissait de la même personne, dont le nom aurait changé du fait du mariage musulman qu’elle aurait contracté.

Les doctes en islam, ont à ce jour, du mal à accepter cette explication. Mais pour la paix social, tous les ivoiriens ont tourné la page illisible de son histoire personnelle avec sa « génitrice » qu’il fera naître tantôt à Dabou, tantôt à Odienné.

Quand un prestidigitateur s’introduit dans l’arène politique, les limites de l’impossible se rétrécissent fortement. La preuve: Les ivoiriens se souviennent comme si c’était hier, Alassane Dramane Ouattara, brandissant au Palais de congrès de l’Hôtel Ivoire, le passeport ivoirien (vert) tout neuf de son grand-père, Ibrahim Cissé né en1868 à Gbélégban (Odienné). A l’occasion du forum de la réconciliation nationale initié par le Président fraîchement élu, Laurent Gbagbo, pour panser les plaies grâce à cette catharsis, les ivoiriens (re) découvraient l’homme masqué, Ouattara, dans sa dimension de « manipulateur ».Désireux de démontrer que sa mère et son père dont la carte nationale d’identité a été établie selon lui le 20 mars 1963 à Dimbokro, sont tous les deux d’origine ivoirienne. Voici encore, quelques-unes des ‘‘grandes’’ déclarations de Alassane Ouattara, cet homme incapable de citer en Côte d’Ivoire où il dit avoir fait son enfance, des noms de ses amis d’enfance, d’école primaire ou de quartier de Dimbokro:

-En 1995, il affirmait en visite en France devant les médias internationaux «… on m’empêche de me présenter parce que je suis du nord et musulman…» Ce protestant ouvrait ainsi la boîte de pandore, en introduisant la religion et l’ethnicité dans la politique. Pour la première fois de l’histoire du pays d’Houphouët, un candidat à l’élection présidentielle se faisait passer pour une victime, à cause de son appartenance religieuse et communautaire. Très grave…

-En 1999 il a dit: «Lorsque je frapperai ce régime, il tombera comme un fruit mûr ». Henri Konan Bédié alors chef d’Etat, qui avait émis à l’encontre de Alassane Ouattara un mandat d’arrêt international pour «faux et usage de faux sur la nationalité Ivoirienne», fera ainsi l’amer expérience du revanchard Ouattara qui, par le biais des «jeunes gens» (des soldats de l’armée ivoirienne), l’enlèvera du pouvoir par un coup d’Etat en décembre 1999. Dans l’effervescence de cette chute de son adversaire politique, Alassane en extase dira à ses militants ceci: «Quand un Ouattara dit quelque chose, il le fait»…

-C’est ce même Ouattara Alassane qui en 2000, promettait: «….si ma candidature est rejetée…. je rendrai ce pays ingouvernable…» Le président de la Cour suprême M Tia Koné qui avait alors invalidé sa candidature, ne se doutait pas, à l’instar des ivoiriens que Alassane Dramane Ouattara mettrait à exécution ses menaces.

En 2002, à seulement deux à trois jours après l’attaque du 19 septembre, Ouattara réfugié au 43ème BIMA, répond à Affi N’guessan qui sollicite l’activation des accords de défenses en la Côte d’Ivoire agressée, et la France. Croyant à une invasion étrangère. Parce qu’au début, on ne savait pas qui attaquait…

Eh bien, Ouattara lui, savait très bien qui étaient ces assaillants. Il a alors répliqué en disant: «…C’est une affaire interne à la Côte d’Ivoire, la France n’a pas à se mêler…» Question: Comment le savait-il, on ne connaissait alors, ni Soro Guillaume, ni Tuo Fozie, ni Sherif Ousmane…

-En 2003, le président Gbagbo de retour d’un voyage qu’il jugea fructueux avec Jacques Chirac, disait: «nous sommes d’accord que la priorité, c’est le désarment…»

Réplique de Alassane Ouattara, précédé par Cissé Bacongo, à l’époque son répondeur automatique: «… Non, non, la priorité, ce n’est pas le désarment, la priorité c’est la question identitaire », sous-entendu, les rebelles doivent garder les armes jusqu’à ce que le problème ”identitaire” ou de papier soit réglé…

-Affi N’guessan et le FPI exigent le désarment avant les élections. Réponse de Ouattara: «…on peut faire les élections sans désarmement,… il y a eu des élections en Irak et en Afghanistan sans qu’il n’y ait eu désarment…».

-A propos des Forces de Défense et de Sécurité nationale qu’il ne porte pas du tout dans son cœur et dont il attend réduire l’effectif quand il deviendra Président de la République, Alassane dira ceci: «ils doivent être désarmés…» Oui, ce politicien, sans sourire, voulait désarmer l’armée nationale. Du jamais vu. Sa haine contre les Fanci éclatera à la face du monde, quand, en pré campagne dans le V Baoulé, il se lâcha, à propos du pont reliant deux régions, que les soldats loyalistes avaient détruit en pleine guerre contre les assaillants venus du Nord. Déclarant net: «…c’est un acte stupide»

Bien entendu, la réplique du général Mangou chef d’état-major des Fanci, fut à la hauteur de la sortie de celui de qui est sorti « le pipi qui a coupé le pays en deux » La réplique de Mangou ne s’est pas faite attendre. Ouattara ne s’est jamais gêner d’étaler son amour débordant pour les rebelles à qui il a rendu visite à Bouaké lors de la précampagne électorale. Sur RFI, il dira, à propos de la rébellion : «…les rebelles et moi, nous menons le même combat ». Avant d’enfoncer le clou, à la surprise générale, face à ses filleuls Comzones qui, à Bouaké et autres zones Cno, font la pluie et le beau temps : «votre combat est noble…»

Une fois à la tête de ce pays, Ouattara Alassane ne pourra pas désarmer ses hommes, encore en armes. Pour que le pays se normalise. Car, il est redevable aux pieds nickelés venus d’ailleurs qui ont fait main basse sur les plantations de l’Ouest et transformé.

Né le 1er janvier 1942 à Dimbokro, Alassane Dramane Ouattara est le fils Dramane Ouattara, ressortissant voltaïque. Sa filiation du côté maternel est plus opaque. Faisant mentir l’adage mater certum, pater sempre incertum, Alassane Dramane Ouattara a présenté, dans ses divers documents administratifs, deux femmes différentes comme étant ses mères. Sur son jugement supplétif (acte de naissance), la mère de Ouattara s’appelle Nabintou Ouattara née à Odienné. Mais, dans le dossier qu’il a présenté à l’élection présidentielle de 2000, sa mère s’appelle cette fois Cissé Nabintou née à Dabou.

Nonobstant ce flou sur l’identité de sa mère, Alassane Dramane Ouattara est retourné en Haute Volta avec son père, dans les années 50, pour y effectuer sa scolarité. Jeune homme âgé de 20 ans, il a été, en mars 1962, convoqué pour satisfaire à ses obligations militaires. Recensé dans le premier contingent des Forces armées voltaïques naissantes sous le matricule 62/824 FAV de la classe de 1962, il a par la suite bénéficié d’un sursis. Les registres des Forces armées, encore disponibles au Faso, qui peuvent être consultés sans déplacement, en attestent.

Il se rend par la suite aux Etats Unis, plus précisément à Philadelphie, pour y poursuivre ses études en tant que boursier au titre de la Haute Volta, dont il a obtenu les documents officiels. L’intéressé lui-même affirme s’être rendu aux USA en 1962 pour y continuer sa scolarité muni d’un passeport ordinaire voltaïque (“J.A.” n°1812 du 28 septembre au 4 octobre 1995 p. 67).

Sur place, il s’est fait recenser comme étudiant voltaïque, ainsi que le prouve sa carte de sécurité sociale délivrée par les autorités américaines en octobre 1962, qui porte le n°165-40-9295.

Une fois ses études terminées aux USA, il a été recruté, en tant que citoyen voltaïque, au poste d’économiste principal au Fonds monétaire international (FMI) en avril 1968. A chacune de ses promotions au sein de cette institution, la presse panafricaine, particulièrement “Jeune Afrique”, l’a toujours présenté comme un ressortissant de la Haute Volta sans que cela ne soit démenti. Les livres de référence du FMI disponibles à Washington, au siège de l’institution, le présentent aussi sous cette nationalité.

Haut fonctionnaire de la Haute Volta, Alassane Dramane Ouattara a bénéficié de deux passeports diplomatiques de ce pays sous les n° 457 du 23/12/1973 et n°DPL/1478 du 10/09/1985. Les dossiers pour l’obtention de ces documents contenant bien un certificat de nationalité voltaïque de l’intéressé sont, eux aussi, disponibles au Faso, et les registres chronologiques du ministère des Affaires étrangères qui les a délivrés mentionnent que l’intéressé a la nationalité voltaïque ou burkinabè.

Dans le cadre de ses visites de travail dans les pays africains, du temps où il était agent FMI, Alassane Dramane Ouattara a séjourné, du 2 au 9 janvier 1988, en Côte d’Ivoire. A la réquisition de la police des frontières, il a produit des documents officiels burkinabè pour justifier de son identité et de sa nationalité, a rempli et signé de sa main les fiches de police en y indiquant librement la même nationalité. A l’hôtel Ivoire où il a séjourné, les mêmes informations ont été données. Ces fiches, dont copies ont été portées à la connaissance de l’intéressé, sont disponibles dans les archives de la police nationale de Côte d’Ivoire et à l’hôtel Ivoire.

Alassane Dramane Ouattara a été successivement vice-gouverneur de la BCEAO (janvier 1983 à octobre 1984) et directeur Afrique du FMI (novembre 1984 à octobre 1988) en tant que Burkinabè. Alors question : comment Ouattara est-il devenu Ivoirien par la suite pour occuper le poste de gouverneur de la BCEAO ? A ce jour, il n’existe en effet aucune trace d’un quelconque décret de naturalisation d’Alassane Dramane Ouattara dans les archives nationales ivoiriennes. L’intéressé lui-même n’a par ailleurs toujours pas été à même de produire ledit document.

Une conclusion s’impose: Au regard de ce qui précède, Alassane Dramane Ouattara n’est pas originaire du Nord de la Côte d’Ivoire, comme il se plait à le dire, repris en chœur par les organes de la presse étrangère acquis à sa cause, mais est bel et bien le ressortissant d’un pays au Nord de la Côte d’Ivoire. EN HAUT DE LA COTE D’IVOIRE .

Kouamé Celestin N’brah
Samedi 3 Novembre 2012
La Dépêche d'Abidjan

Image
L'argent n'a pas d'odeur mais ça se sent quand on n'en a pas !



Avatar de l’utilisateur
Eve
Son Excellence
Son Excellence
Messages :5725
Inscription :juin 27, 13 2:18 pm

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Eve » janv. 20, 19 12:45 pm

Mais où est le problème pour vous occidentaux, qu'il soit martien où Hongrois où autres, vous êtes des occidentaux à la solde des occidentaux en payant vos impôts dans leurs caisses :)
10 ans que vous avez le même refrain !

Vous Ivoiriens ? vous n'avez que la couleur :wink:



Martin Féral
Son Excellence
Son Excellence
Messages :2003
Inscription :oct. 16, 06 6:00 pm

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Martin Féral » janv. 21, 19 2:31 pm

@ Eve le mérite de tous ces écrits est qu'ils demeurent toujours disponibles. Pour dire que ton mossi paiera un jour tous ses méfaits à la Côte d'Ivoire.
MF
Quand on te qualifie de bon, ce n’est pas parce qu’on ne voit pas tes fautes. On ferme simplement les yeux pour t’aider à grimper



sam kehi,le Guere
Son Excellence
Son Excellence
Messages :9552
Inscription :avr. 25, 05 4:57 pm

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par sam kehi,le Guere » janv. 21, 19 4:13 pm

Le debat sur la nationalite: du Sindouka est depasse' car il a ete autorise' a' etre candidat a' la presidence de la republique.Et il est aujourd' hui president. Ce qui interesse nous autres ce sont les crimes commis par la rebellion ( et ses chefs politiques et militaires).
La vulnerabilite' de l'Afrique est aussi due au fait que de veritables chefs de gangs accedent a' la magistrature supreme en Europe.Ces derniers utilisent leurs armees pour attaquer nos pays comme des bandits attaquent une banque.



Avatar de l’utilisateur
Beauté Nubienne
Son Excellence
Son Excellence
Messages :9858
Inscription :juil. 02, 09 8:20 am

Re: Le mossi et la France empoisonnent les ivoiriens

Message par Beauté Nubienne » janv. 22, 19 6:24 am

Non Sam, le debat sur la nationalite: du Sindouka n'est pas du tout depassé et ne doit pas ètre dépassé '.....

Les origines et la vraie nationalité de ce bourkinabé nommé mossi dramane alassane ouatara sont toujours d'actualité. ...
Une imposture et une usurpation doivent toujours être dénoncées. ...

Des étrangers ne peuvent pas être à la magistrature suprême de notre pays pendant que les autochtones sont tués torturés déportés incarcérés. .....
L'argent n'a pas d'odeur mais ça se sent quand on n'en a pas !



Répondre