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Kémi Séba et le Franc des Colonies Française d'Afrique

Qui sommes-nous? d'où venons-nous? L'Histoire de l'Afrique, par les Africains.
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Beauté Nubienne
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Kémi Séba et le Franc des Colonies Française d'Afrique

Message par Beauté Nubienne » sept. 06, 17 2:31 pm

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... _3212.html

Franc CFA : « De quoi le geste de Kémi Séba est-il le nom ? »


Le 19 août, le Français Stellio Capo Chichi, alias Kémi Séba, militant radical se disant anti-impérialiste, a brûlé à Dakar, en public, un billet de 5 000 francs CFA (soit 7,60 euros). Son geste, qui a enflammé les réseaux sociaux, lui a valu d’être arrêté le 25 août. Jugé mardi 29 août sur la base d’une plainte de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), il a été acquitté par un tribunal de Dakar.

Réagissant à cette affaire, l’économiste et écrivain sénégalais Felwine Sarr nous a envoyé la tribune ci-dessous.

On peut ne pas adhérer à sa méthode, à son propos simpliste, à ses théories du complot, à ses excentricités, au traitement caricatural qu’il fait d’une question dont la réponse est plus complexe que la binarité d’un oui ou d’un non ; il n’en demeure pas moins vrai que les questions impérieuses de la souveraineté et de l’autonomie des Etats africains postcoloniaux, des rapports de domination qui persistent dans les relations entre les anciennes puissances coloniales et les pays africains, méritent d’être posées, et Kémi Séba les pose.

Lire aussi : « La fin du franc CFA mérite de meilleurs avocats qu’une tribu de farceurs »

N’oublions pas que ceux dont on estime qu’ils se battent mal pour la cause font néanmoins partie du régiment et occupent un espace sur la ligne de front. Il ne faudrait surtout pas se tromper de bataille et d’adversaire. Le doigt de Kémi, aussi grossier puisse-t-il nous paraître, pointe une lune qui existe bel et bien et un problème qui est réel : les rapports de domination économiques, politiques et militaires, qui font que malgré des indépendances obtenues dans les années 1960 pour la plupart des nations africaines, la décolonisation est un processus qui est loin d’être achevé. Nombreux sont les domaines dans les relations entre les nations africaines et les ex-puissances coloniales qui sont encore fortement marqués d’une colonialité plus que latente. Nul besoin d’une longue litanie pour étayer ceci : les faits sont légion.

Il faut cependant reconnaître que sur la question du franc CFA, l’engagement d’un Kémi Séba, ainsi que celui de groupes dits afrocentristes ou panafricains, ont contribué à ramener cette question, posée depuis les années 1980 par les économistes du continent, au cœur de l’espace public et à en faire une préoccupation relayée par la presse, les opinions publiques des centres urbains de nos pays, et même à contraindre certains chefs d’Etats de l’UEMOA [Union économique et monétaire ouest-africaine] et de la CEMAC [Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale] à devoir se prononcer sur la pertinence et la pérennité d’un tel arrangement monétaire, même si leurs réponses demeurent laconiques et insatisfaisantes.
Un débat sérieux doit être mené

Sur cette question du franc CFA, un débat sérieux devra cependant être mené, engageant les économistes et experts des questions monétaires, les banques centrales, les acteurs économiques et les citoyens. Un débat prenant en compte toutes les dimensions de la question : économiques, politiques et symboliques.

Un débat allant au-delà de la simple dénonciation et portant sur les diverses options envisageables ; leurs avantages et leurs coûts, leur faisabilité, les horizons temporels dans lesquels ces options pourraient être inscrites ; bref, une réflexion sur les différents arbitrages possibles, avec comme objectif ultime l’intérêt de nos économies.

Et plus largement encore, un débat de fond portant sur la manière de rendre nos économies fortes, en pointant toutes leurs faiblesses structurelles et les moyens d’y remédier, et enfin, honnêteté intellectuelle oblige, éviter de faire croire à nos opinions publiques que si le franc CFA disparaissait demain, toutes nos difficultés seraient comme par enchantement résolues.

Lire aussi : « Organisons un référendum sur le franc CFA ! »

La question monétaire est une parmi tant d’autres : la structure de nos économies, leur forte extraversion, leur faible diversification, leur mode d’insertion dans le commerce international, leurs régimes d’accumulation, leur dépendance au financement externe, la prédominance du capital productif étranger, l’extraction et le rapatriement de la plus-value de nos espaces par les firmes multinationales, etc. Aussi, toutes les faiblesses structurelles de nos économies méritent d’être relevées, indiquées, examinées, mais surtout traitées et résolues avec compétence et responsabilité.

Cette exigence de rigueur dans la manière de poser les problèmes et surtout de les traiter est importante, car en caricaturant les questions on les affaiblit.

L’autre écueil consiste à se perdre dans la complexité et la finesse de la description des asymétries, en pointant par exemple la non-justesse d’une vision globalisante qui renverrait tout à une cause unique. Aussi, l’imputation de toutes nos difficultés à la seule action de la puissance néocoloniale relève d’une vision fausse, parce que partielle, simpliste et réductrice.

Cependant, la complexité des situations, bien que réelle, ne doit pas nous empêcher de retenir le fin mot de l’histoire qui est que parmi nos multiples défis, celui de recouvrer notre autonomie, nos espaces d’initiatives et notre puissance d’agir en redevenant le sujet de notre propre histoire est primordial et fondamental.

Rêve de grandeur révolutionnaire

Aussi, la question qui se pose n’est pas celle de la nécessité de la lutte, mais de sa méthode. Comment la mener ? Education, politisation, formation d’une conscience citoyenne panafricaine (certains y travaillent déjà sérieusement). Comment construire des forces sociales assez puissantes qui produiront et conduiront au pouvoir dans nos pays, un leadership de qualité, autonome et indépendant, qui sera en mesure de mettre en avant les intérêts des peuples africains et de résister efficacement aux pressions diverses.

Quels sont les fondements d’une telle entreprise ? Par quoi commencer ? Quelles sont les formes qu’elle doit prendre ? Voici pour moi les questions urgentes.

Un activisme uniquement dénonciateur est limité dans sa portée transformatrice. Mais il faut reconnaître que s’il occupe autant de place, c’est du fait d’un vide, d’un espace non occupé par des forces sociales, d’une absence de proposition politique sérieuse de la part des mouvements politiques classiques dans nos espaces, du fait d’intellectuels inorganiques ou de sociétés civiles ne jouant pas pleinement leur rôle sur ces questions-là.

Lire aussi : « L’inertie du franc CFA empêche chaque pays d’être réactif en cas de choc économique »

Aussi, de quoi Kémi Séba est-il le nom ? Pourquoi tant de jeunes surtout dans la diaspora se reconnaissent dans son discours ? C’est parce qu’ils sont orphelins d’une parole qui dit leur trouble et défend leur dignité de citoyen devant être pleinement considérés et respectés. Ces jeunes décryptent (et pour cela nul n’est besoin de MBA ou de doctorat en relations internationales) la marche d’un monde dont la géopolitique, la symbolique et les diverses pratiques les maintiennent dans une position de subalternité.

Ces derniers, issus de cultures que l’on continue symboliquement de minorer, souvent victimes de racisme et de discriminations dans leurs espaces de citoyenneté, sont témoins de la mise sous tutelle d’un certain nombre d’Etats postcoloniaux dont leurs parents sont originaires et observent une communauté internationale proclamant des valeurs qu’elle ne défend qu’à géométrie variable, affaiblissant ainsi leur puissance ordonnatrice.

Certes on peut reprocher beaucoup de choses à ce type d’activisme, principalement incantatoire, mêlant discours messianique, rêve de grandeur révolutionnaire et désir d’iconisation à moindres frais, mais surtout qui fait l’économie d’un travail en profondeur sur les racines du mal, sur la prise en compte de la complexité du réel et surtout sur l’exigence d’informer sa cible de manière juste en ne simplifiant pas à l’extrême les questions. Cependant, ce type d’activisme, même si nous devons en indiquer les limites, n’est pas notre adversaire, et notre trouble vient du fait que nous savons que sur le fond, il pointe de vraies questions.

Que faisons-nous alors ? Nous concentrer sur les faiblesses de sa démarche ? Ou travailler à apporter des réponses de fond dont nous ne pourrons faire l’économie si nous désirons réellement œuvrer à l’émancipation et à l’épanouissement de nos sociétés ?
Une crise de légitimité

L’acte de Kémi Séba est symbolique. Certes, la valeur inscrite sur un billet de banque appartient au détenteur de ce dernier, mais le billet de banque, dans sa matérialité et comme support de cette valeur, appartient à son émetteur, la Banque centrale. Détruire un signe monétaire, dans le droit sénégalais, est une infraction. La Banque centrale peut ester en justice contre quiconque détériore son bien et surtout porte atteinte à la crédibilité de ses moyens de paiement, car ultimement la valeur de la monnaie ne réside que dans la confiance, la fiducia, que ses usagers lui accordent.

Le franc CFA connaît auprès d’une large frange de la jeunesse africaine et de ses diasporas une crise de légitimité, qui ne sera pas résolue par une réponse juridique, mais par un authentique débat de fond sur la question débouchant sur des décisions proactives et adéquates. Ce franc cristallise le rejet des survivances du pacte colonial et peut-être le charge-t-on un peu trop de significations qui le débordent. Mais ici, sur ce théâtre, l’essentiel est symbolique.

Lire aussi : Les dix penseurs africains qui veulent achever l’émancipation du continent

L’acte de Kémi Séba relève de cette logique : c’est un discours et un message qui ne portent nullement atteinte au fonctionnement de la zone monétaire, n’exagérons rien. Espérons que nos juges n’envoient pas le signal, en le condamnant, qu’ils seraient plus royalistes que le roi. Il y a quelques années, dans d’autres espaces, Serge Gainsbourg brûlait sur un plateau de télévision un billet de 500 francs français. Sa société avait compris que ce n’était qu’une provocation.

Kémi Séba ne mérite pas la prison pour ce billet brûlé. Les questions de fond sont ailleurs, ne feignons pas de les ignorer.

[/b]
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Message par Eburneenne 3 » sept. 07, 17 8:57 am

ET L'AFRIQUE AU TRAVERS D'UN AUTRE EPOUVANTAIL SENEGALAIS DÉPORTA ENCORE UN AUTRE DE SES FILS!!!

Kemi Seba expulse du territoire senegalais par arrete n* 1635 en date du 05/09/2017 du ministere de l'interieur, immediatement puisque l'activiste executoire. Ooooooooh honte a Macky le sale negre de maison!!! ESCLAVAGE: En expulsant Kemi Seba vers la France, le Sénégal a rouvert les portes de l'ile de Goree.



https://scontent-iad3-1.xx.fbcdn.net/v/ ... p#br#ed_cl#

Les Ivoiriens et partant les Africains doivent se debarasser du m'a-tu vuisme. Nous nous sommes assez amuses. Ca suffit, reveillons-nous!



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Message par Jais » sept. 07, 17 8:12 pm

Pauvre Macky sale...
Quant à la France, elle n'a pas peur du ridicule.



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Re:Kémi Séba et le Franc des Colonies Française d'Afrique

Message par PatrioteForEver » sept. 08, 17 4:17 pm

ks c'est son nom de scene, ce n'est plus un kemite , le sieur Aarim Shabazz, est un escroc et surement mandaté .
Aarim Shabazz ,incapable de pondre un seul livre, et plagiant ces propres frères.
On ne comprend pas toutes ces mises en scene tant la future monnaie semble etre déjà en cours de préparation

Bref en qui concerne le cfa dommage que cette question n'est pas fait l'objet de plus débats d'experts entre africains.

On ne sait pas trop ce qui se prepare, à mon humble avis on se sert du ressentiment des africains pour les envoyer droit dans le mur....



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(Agence Ecofin) - Le Maroc est disposé à adopter la future monnaie unique de la Cedeao, a annoncé, ce mardi, le président de la Commission de la Cedeao, Marcel De Souza (photo), en visite dans la capitale du royaume chérifien. Le responsable de l’organisation intergouvernementale ouest-africaine citait, à l’occasion, une lettre du roi Mohammed VI : « le Maroc s'engage à l'adhésion à une monnaie unique le jour où elle sera adoptée par la Cedeao».

Alors que, plus tôt ce mois-ci, Marcel de Souza déclarait que la mise en place de cette monnaie unique devrait prendre encore une dizaine d’années.

Le 4 juin dernier, à Monrovia, dans la capitale libérienne, le conseil des chefs d'Etat de la Cedeao a validé l’accord de principe pour l’adhésion du Maroc. La visite de Marcel de Souza s’inscrit, comme l’indique le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, dans le cadre des préparatifs pour la validation définitive de cette décision qui devrait avoir lieu, le 16 décembre prochain à Lomé.

De façon détaillée, les dirigeants de la zone d’intégration et ceux du royaume chérifien devront s’accorder sur quelques «dispositions diplomatiques et surtout juridiques pour conclure le traité additionnel qui conférera au Maroc le droit de devenir adhérent à part entière de la Cedeao », a expliqué à la presse, Marcel de Souza.

Rappelant le caractère historique des relations entre le Maroc et la sous-région, le président de la commission de la Cedeao a mis l’accent sur les intérêts marocains en Afrique de l’Ouest. Le groupe financier marocain Attijariwafa bank est présent dans presque la moitié des pays de l’organisation. La BMCE, propriétaire du groupe Bank of Africa (BOA), une banque présente dans les 8 pays de l’UEMOA, ainsi que d’autres entreprises opèrent dans plusieurs secteurs, notamment la santé, l’agro-alimentaire, etc.

Toutefois, un grand défi reste à relever aussi bien sur le court que le long terme. Comme le souligne le dirigeant béninois : « C’est un mariage sans Brexit, sans divorce, il doit être bien préparé ». «Le Maroc va adhérer à un marché de 340 millions de consommateurs et à un schéma de libération des échanges ainsi qu’un tarif extérieur commun. La Cedeao dispose de 6 000 lignes tarifaires et le Maroc en a 17800, il faudra harmoniser tout cela dans la durée », conclut l’ancien ministre béninois.

Tous les yeux sont à présent rivés sur Lomé.

Fiacre E. Kakpo


http://www.agenceecofin.com/integration ... -la-cedeao

===========================================================
Dernière modification par PatrioteForEver le sept. 08, 17 4:44 pm, modifié 1 fois.



PASquare
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Re:Kémi Séba et le Franc des Colonies Française d'Afrique

Message par PASquare » sept. 08, 17 6:24 pm

Reponse à Son Excellence PatrioteForEver:
 
Rappelant le caractère historique des
relations entre le Maroc et la sous-région, le président de la
commission de la Cedeao a mis l’accent sur les intérêts marocains en
Afrique de l’Ouest. Le groupe financier marocain Attijariwafa bank est
présent dans presque la moitié des pays de l’organisation.

--------------

Nous sommes vraiment un peuple damné.
Le texte ci-dessus montre toute la débilité de ceux qui dirigent l'Afrique noire.
Ce De Souza se contente simplement de vanter les interêts marocains dans notre sous-région.
Mais diantre, et les intérêts de notre sous-région au Maroc ? Ce n'est pas important ?
Donc nous rentrons dans un mariage qui ne profitera qu'au Maroc ?
Nos intérêts au Maroc n’intéressent personne ?
Ce sont toujours les autres qui doivent venir chez nous s'enrichir ?

"
L’honnêteté, la sincérité, la simplicité, l’humilité, la générosité, l’absence de vanité, la capacité à servir les autres - qualités à la portée de toutes les âmes- sont les véritables fondations de notre vie spirituelle.
"
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Re:Kémi Séba et le Franc des Colonies Française d'Afrique

Message par Beauté Nubienne » sept. 08, 17 9:42 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>PatrioteForEver</b>:</font>
 
Bonsoir Pat... Tu crois à cette monnaie unique togolaise marocaine de la cedeao qui sera mise en circulation dans 10 ans ?

C'est quoi cette histoire de monnaie unique ? C'est juste pour endormir les utilisateurs du Franc des Colonies Françaises d'Afrique. ....
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Re:Kémi Séba et le Franc des Colonies Française d'Afrique

Message par Beauté Nubienne » sept. 08, 17 9:47 pm

<font color=brown>Reponse à Son Excellence <b>PatrioteForEver</b>:</font>
 
Je suis d'accord avec toi pour Kemi Seba. ... Depuis qu'il s'est reconverti à l'islam pour résoudre ses problèmes financiers. ... Je ne lui fais plus confiance. ..

Mais j'apprécie malgré tout qu'il parle du FCFA Franc des Colonies Françaises d'Afrique
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Eburneenne 3
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Message par Eburneenne 3 » sept. 09, 17 6:29 am

''Elles sont lourdes, très lourdes les chaînes que le nègre met au cou du nègre pour complaire aux maîtres du jour.'' Bernard Binlin Dadié

Banda Kani demonte le vendeur d'illusion DAO rebelle 1er volmentu, l'imposteur burkinabe sur ses déclarations incongrues d'esclave au service de l'hydre hideuse appelee neoliberalisme à propos du franc des colonies francaises d'Afrique (FCFA).https://www.facebook.com/plugins/video. ... ;width=560" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" allowfullscreen="true" width="560" height="314" frameborder="0">
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Re:Kémi Séba et le Franc des Colonies Française d'Afrique

Message par PatrioteForEver » sept. 09, 17 9:24 am

Reponse à Son Excellence Beauté Nubienne:
&nbsp;
Bonjour ma sœur,

Ce que je pense c'est que tout cela c'est juste une illusion comme en 1960 avec les indépendances fictives.





Jais
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Message par Jais » sept. 10, 17 11:38 am

Vous aurez remarqué que Edward Snowden et Julien Assange n'ont pas été livrés aux pays (dont les USA) qui les réclament.
Et ne comparons pas leurs dossiers avec celui du jeune Semi Keba !
Si le président (autochtone) de l'équateur était un lâche (dénué de tout fierté), Assange serait entre les mains de ses bourreaux.
Ou si les Britanniques (qui ne sont pas des anges) étaient des brutes épaisses comme les français et leurs esclaves africains, ils auraient forcé le passage de l'ambassade de l'Équateur à Londres.
Pauvres Macky Sale, Ouattara, Gnassimbé, Macron etc



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