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Message par Gbapleu » août 19, 10 10:19 am

Reponse à Youzan:
 
mais concernant cette histoire de taxi.....8000 frcs CFA par jr pdt 4 ans pr etre proprietaire de taxi ?
si je compte bien, on arrive a la somme de 11millions 520 mille FCFA !!!
C'est quoi comme voiture ?
8.000 fcfa x 365 jours = 2.920.000 fcfa . Avec ce montant , un Abidjanais s'achete deux Warèns ! Même trois (3).Maintenant dans le cas d'espèce Maïga , nous apprend que pour devenir proprio , il faut payer ce montant pendant quattre (4) années , et rappellez-vous , que nous sommes au Mali . C'est ici que l'histoire de Maïgus , ne tient plus debout , car c'est un vol. Dans la ville de Bamako , la plus grande du Mali , et là où on peut parler d'affaires , donc de clients qui empruntent les taxis , pendant ce mois de ramadan , toute activité productive est inexistante . La ville est comme sous couvre-feu . Je sais de quoi je parle . En dehors de ce facteur combien sont les kilomètres de routes parcourables en taxis à Bamako et combien de clients empruntent ces taxis par jour pour qu'un seul chauffeur de taxi puissent payer à son créditeur 8.000fcfa , par jour ? au fait quelle est sa recette journalière ce taximan ? Gbap.
UN HOMME QUI A PEUR N'EST PAS UN HOMME LIBRE !Gbap.



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Message par Maigus » août 19, 10 10:35 am

lucide a écrit :Reponse à Youzan:

J'ai vite fait le même calcul . Même si on parle de voiture neuve en rajoutant le cout du credit car c'est une forme de credit et surement le coût de la gestion du "partenariat" sans connaitre le type de voiture cela semble chèr pour un warène. Frangin Maigus stp c'est quoi comme voiture.

Mais au-dela de cet aspect mathematique je pense que ce n'est pas mal comme operation si les choses se passent comme l'article l'indique :
  • en 4 ans être proprietaire d'un taxi par un chauffeur quand nous savions comment souvent ces gas sont exploités avec des salaires miserables
  • être proprietaire = autonomie aussi sur d'autres plans
  • Si les choses se passent bien c'est une experience à essayer dans d'autres pays vue que l'Etat se porte caution avec le problème d'accès aux credits dans nos pays c'est cool.

    Dans tous ces articles un autre a retenu mon attention c'est la chance de première experience professionnelle donnée aux jeunes je trouve cette idée geniale mais affaire de gratuité du job on peut leur payer le taxi quand même. Voici un autre problème de nos Etats on ne profite pas assez des experiences les uns à côté des autres je dis bien assez car les echanges existent.Avec la decentralisation au pays voici un creneau à exploiter pour utiliser des matières premières brutes de jeunes diplomés avec toute une perspective d'insertion derrière.

    Le frère Maigus tu est faché dèèèè , tellement les gas te "teché" dans affaire au  Mali ya rien tu as sorti les dossiers en Beton lol lol lol
    C'est bien le Mali en chantier mais les choses iraient mieux pour nos pays si on convergeait nos synergies regionales mais l'espoir est permis car nous representions la generation "YES WE, AFRIK CAN"


    On est ensemble

     
     Lucide , Tous les jeunes apprentis sont payés et selon leur niveau de diplome et en ce qui concerne les Taxis , dites à nos mathematiciens qu'un taxi peut gagner plus de 20000 Fcfa par jour à Bamako et qu'ils sortent leur calculatrice pour nous dire combien gagne ces braves taximans comme benefs pendant les 4 piges et sans la gratuité du Taxi  MA SALAMMM



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    Message par Maigus » août 19, 10 10:46 am

    Corridor Bamako-Dakar par le sud



    Le tronçon Sékokoto-Bafing et le pont du Balé sont terminés. Les travaux de l'axe Bafing-Keniéba-Falémé et du pont de Falémé avancent à un rythme satisfaisant.
    Lancés en décembre 2008 par le président Amadou Toumani Touré, les travaux de construction du tronçon Bafing-Keniéba-Falémé de la route Bamako-Dakar par le sud avancent à bonne allure. Le ministre de l'Équipement et des Transports, Hamed Diane Semega, accompagné du Directeur national des routes, Issa Hassimi Diallo, en a fait le constat le week-end dernier au cours d'une visite sur le chantier. Bafing-Keniéba-Falémé est le deuxième lot du corridor Bamako-port de Dakar par le sud. Sa construction participe du désenclavement du pays et de la diversification des voies d'accès aux ports de la sous-région. La route permettra, non seulement, de désenclaver le cercle de Kéniéba mais également de relier Bamako au port de Dakar. Un autre avantage est que cette route va offrir un raccourci de plus de 200 km par rapport au corridor Bamako-Kayes-Dakar. La réalisation du corridor Bamako-Dakar par le sud traduit aussi la volonté des pays de la sous-région de construire des infrastructures routières sous-régionales de bon niveau de service en vue de renforcer l'intégration économique, promouvoir les activités socio-économiques et améliorer le cadre de vie des populations. Les travaux de construction des 156 km du tronçon Bafing-Falémé sont exécutés par l'entreprise chinoise Covec-Mali. Actuellement plus de 250 ingénieurs et manœuvres travaillent sur le chantier. Le débroussaillage est terminé sur environ 100 km et les terrassements sur environ 70 km. Cependant un léger retard est enregistré sur le chronogramme d'exécution du chantier. Ce contretemps est dû en partie aux fortes pluies de l'hivernage dernier ainsi qu'à la nature difficile de la zone du chantier : La route serpente sur une grande partie de la chaîne de montagne "le Tambaoura". En dépit de ces obstacles, l'entreprise Covec-Mali assure qu'elle rattrapera son retard et finira le chantier dans le délai contractuel en mai 2011. Notons que la construction de la voie Bafing-Falémé va coûter 25,5 milliards Fcfa. Les travaux vont durer 30 mois. Le tronçon Sékokoto-Bafing du même corridor a aussi été inspecté par le ministre Hamed Diane Semega. Le bitumage de ce tronçon de 70 km est quasiment terminé. L'entreprise Razel est en train de procéder aux derniers réglages. La route Sékokoto-Bafing, quant à elle, va coûter 1,6 milliard Fcfa. Le ministre a également visité les ponts de Balé et de la Falémé. Ces deux ouvrages, construit dans le cadre de la coopération Mali-Japon, sont des moyens de franchissement de l'affluent le Balé et de la rivière Falémé sur le corridor Bamako-Dakar par le sud. Les travaux du pont de Balé ont commencé en avril 2009. Ils doivent durer 18 mois et coûter 4,5 milliards de Fcfa. La construction du pont de Balé est terminée et l'équipe d'ingénieurs de l'entreprise japonaise Dai-Nippon construction (DNC) s'est redéployée sur le pont de la Falémé dont les travaux ont commencé. Le ministre de l'Équipement et des Transports, Hamed Diane Semega, a confirmé l'intérêt que le gouvernement accordait à ces chantiers qui participent de la dynamique enclenchée par notre pays pour combattre la pauvreté à travers la réalisation d'infrastructures d'accès au marché international et aux services sociaux de base. Le ministre Semega a ensuite emprunté la route Kayes-Kéniéba longue d'environ 250 km pour se rendre à Kéniéba et mesurer son état déplorable. Le ministre a promis que son département s'emploierait à rendre praticable en toute saison, cette voie vitale pour notre économie.






    Rédacteur(s): Baye Coulibaly

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    Message par Maigus » août 19, 10 10:51 am

    http://www.afrik.com/article10299.html


    MA">http://www.afrik.com/article10299.html" ... R SALAMMM
    Dernière modification par Maigus le août 19, 10 10:51 am, modifié 1 fois.



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    Message par Maigus » août 19, 10 10:57 am

    Ministère de l`Agriculture: La Direction Nationale a pied d`œuvre pour la mise en œuvre du plan de la campagne agricole 2010-2011


    Le Directeur national de l`agriculture, Daniel Siméon Kelema, nous a accordé un entretien sur le déroulement de la campagne agricole 2010-2011. Il nous parle, ici, des objectifs de la campagne, les dispositions prises, les états des cultures, l`appui de l`Etat aux producteurs, le taux de placement des engrais et la situation phytosanitaire. Selon lui, au regard de la disponibilité des intrants agricoles auprès des producteurs, de la régularité des pluies, du niveau de la crue et de celui de l`évolution des emblavures et de la situation phytosanitaire calme, la campagne agricole augure de bonnes perspectives.



    Selon le Directeur national de l`agriculture, Daniel Siméon Kelema, les objectifs de superficies et de production attendus au terme de la campagne agricole 2010/2011 pour les principales cultures sont très ambitieux. S`agissant des céréales, 4.343.816 ha, dont 809.500 ha (saison : 791.200 ha et contre saison : 18 300 ha) seront exploités.

    Il est attendu sur cette superficie une production totale de 7.417.469 tonnes, dont 2.268.054 tonnes de riz.. A le croire, la relance du secteur coton est en marche. Avec 360 000 ha, il est attendu une production de 360 000 tonnes au terme de la campagne.
    Des dispositions concrètes ont été prises pour l`atteinte des objectifs fixés, à travers l`élaboration d`un plan de mise en œuvre de la dite campagne agricole comprenant plusieurs axes. A savoir, la conception et la validation des outils de suivi ; l`élaboration et la diffusion du schéma d`approvisionnement en engrais en rapport avec les opérateurs économiques fournisseurs d`intrants agricoles et la profession agricole ; l`amélioration et la validation de la caution technique pour l`obtention des engrais et semences subventionnés; la tenue de la bourse des semences en mai 2010. A ces dispositions s`ajoutent la subvention à 50% des semences NERICA, sorgho, niébé et blé ; la subvention des engrais urée DAP et NPK pour le riz, le maïs et le blé ; complexe coton, urée, nitrophosphate pour le système coton, le renforcement du personnel d`appui conseil par le recrutement de 100 agents et les activités de supervision et de communication.

    Le Directeur national rassure que les états des cultures sont satisfaits à la date du 30 juillet 2010. A le croire, les niveaux de réalisation des céréales sèches (mil, sorgho, maïs, fonio) sont de 73 %. Le niveau de réalisation du riz est de 35,42%. Quant au coton, il est de 83%." La mise en œuvre se poursuit pour les céréales en fonction des systèmes des cultures et de leur cycle végétatif. Concernant le coton nous avons atteint la dite limite des emblavures", a-t-il déclaré. Se référant aux stades dominants des états végétatifs, Daniel Siméon Kelema précise que le maïs est au stade de levée - montaison. Le riz et le sorgho sont au stade de levée. Quant au mil, il est au niveau de levée et de tallage, selon les localités. L`arachide et le coton sont au stade de levée - début ramification.

    Le Directeur national de l`agriculture indique que l`Etat a consenti beaucoup d`efforts pour l`atteinte des objectifs de la campagne agricole 2010/2011.
    " L`appui de l`Etat pour l`atteinte de ces objectifs porte, entre autres, sur la prévision de la subvention des semences et engrais à hauteur de 21 906 748 310 FCFA ; la prévision de recruter 100 agents de base pour un d`appui conseil rapproché et la facilitation de l`accès au crédit équipement pour la production et la post -récolte. A ces appuis s`ajoutent la création du fonds de développement agricole dans le cadre de la mise en œuvre de la Loi d`orientation agricole, l`aménagement et la mise en valeur de nouveaux sites pour la riziculture (18 834 ha en maîtrise totale de l`eau et 630 ha en maîtrise partielle), le programme de pluies provoquées et la mise en place d`un dispositif de veille pour la protection des cultures contre les nuisibles ", a-t-il affirmé.

    Selon Daniel Siméon Kelema, le taux de placement des engrais auprès des producteurs est de 48,26 % au 25 juillet 2010.
    " La situation phytosanitaire est calme dans l`ensemble. Toutefois, la présence de nuisibles est signalée dans plusieurs localités, sans incidence majeure sur les cultures ", rassure-t-il.
    Il est convaincu qu` " au regard de la disponibilité des intrants agricoles auprès des producteurs, de la régularité des pluies, du niveau de la crue et de celui de l`évolution des emblavures et de la situation phytosanitaire calme, la campagne agricole augure de bonnes perspectives ".

    Source Indépendant


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    Message par Okamolimoli » août 19, 10 11:01 am

    Reponse à Son Excellence Maigus:
     
    Je vous encourage dans vos efforts et faites assez de promotion autour de cela, ça aidera la Civ



    Youzan
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    Message par Youzan » août 19, 10 11:07 am

    Maigus, tu ne reponds pas a mes questions.... je vais me facher heinnn LOL



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    Message par Maigus » août 19, 10 11:11 am

    Pluies provoquées
    Le Mali s’offre deux nouveaux avions pour plus de 7 milliards de FCFA



    C'est tout souriant que des membres du gouvernement ont procédé hier à l'aéroport de Bamako- Sénou à la réception de deux nouveaux avions au compte du programme pluies provoquées. Il s'agit des ministres de l'Equipement et des transports, Ahmed Diane Séméga, de l'Agriculture, Agathane Ag Alassane, de l'Administration territoriale et des collectivités locales, le général Kafougouna Koné et de la Communication et des nouvelles technologies, Diarra Mariam Flantié Diallo.

    L'un montant global de sept milliards quatre cent soixante treize millions deux cent cinquante neuf mille huit cent vingt sept FCFA (7.473.259.827 FCFA) toutes taxes confondues, ces deux avions viennent réduire l'impact des déficits pluviométriques sur les productions agricole et hydro-électrique.


    Démarré en 2006 avec un seul avion, au demeurant sur location, dans les grandes zones de production comme Macina, Niono, San, Bla, Tominian, Ségou, Banamba et Djenné, le programme s'est vite étendu au reste du pays à partir de 2007. Un deuxième avion, également sur location, est venu combler le déficit laissé par le premier.

    Au regard des résultats satisfaisants obtenus de 2006 à 2008 et pour renforcer les capacités d'intervention aériennes du Programme et éviter les retards de démarrage en début de la saison des pluies liés aux procédures de location, le gouvernement du Mali a lancé un appel d'offres international, ouvert le 14 juillet 2008, pour la fourniture de deux avions.


    Avec une expérience de plus de 45 années dans l'ensemencement des nuages et la recherche atmosphérique, c'est le groupement de sociétés Malian Aero Company (M.A.C SARL) et Weather Modifications Incorporated (W.M.I) qui a enlevé le marché.

    En mai 2009, un contrat a été signé entre le gouvernement du Mali et le groupement de sociétés qui s'engage à fournir deux avions turbopropulseurs King Air 200 de puissance 850 SHP, à mettre à disposition les équipements d'ensemencement et de recherche, les produits d'ensemencement, la formation du personnel civil et militaire malien et la conduite des opérations pendant trois campagnes agricoles (2009-2010, 2010-2011, 2011-2012).

    Ces deux avions permettront d'effectuer, à partir de Mopti et Bamako, leurs bases, des opérations d'ensemencement simultanées dans différentes zones du pays, mais aussi de démarrer lesdites opérations au début de chaque saison.

    L'acquisition de ces deux avions est d'autant plus salutaire qu'elle contribuera non seulement à une augmentation significative de la pluviométrie, mais aussi à sa bonne répartition spatiale.


    Au delà des pluies provoquées, l'acquisition des avions constitue, sans nul doute, un transfert de technologie. En effet, la participation de nationaux dans le cadre d'un programme de formation bien adapté, l'apport d'éminents experts américains permettront aux cadres maliens de s'approprier cette technologie.

    Compte tenu de l'importance stratégique du projet, il est indispensable de connaître les spécifications techniques des avions. Il s'agit de Beechcraft, type Super King Air 200. Ces avions sont équipés de turbopropulseur pressurisé à deux moteurs avec une puissance moteur de 2x850SHP pouvant voler à une altitude maximale de 11.000 mètres avec une autonomie maximale de 6h15mn. Leur rayon d'action est de 2.500km avec une vitesse de croisière de 460km/h.

    Pour montrer l'importance de cette acquisition, le ministre de l'Equipement et des transports, Ahmed Diane Séméga, a laissé entendre que le gouvernement vient ainsi de réaliser une bonne affaire. Car, les deux premiers avions coûtaient annuellement à l'Etat deux milliards et demi l'unité.


    Et son homologue de l'Agriculture, Agathane Ag Alassane, d'ajouter que les attentes des producteurs seront comblées au fur et à mesure que les moyens du gouvernement le permettront.

    La cérémonie de réception a pris fin par une visite des deux avions par les membres du gouvernement présents et un vol inaugural.






    Rédacteur(s): Diakaridia Yossi
     
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    Message par Maigus » août 19, 10 11:17 am

    Business : Le Malien Malamine Koné, la panthère de AirnessBUSINESS... né au Mali, Malamine KONE arrive en France à l'âge de 10 ans. Boxeur promoteur, la panthère, est contraint d'arrêter sa carrière après un accident de voiture en 1995. Il se reconvertit alors en fondant en 1999 sa marque d'équipements sportifs, AIRNESS qui vaut plus de 100 million d'euros.

    C'est sur son lit d'hôpital qu'il a trouvé l'idée de créer sa propre ligne de vêtement, après un terrible accident de voiture qui lui a brisé se rêves de devenir un champion de boxe. Aujourd’hui, il officie au sein de Medef, le syndicat patronal en tant que conseiller.
    Mais que le chemin parcouru depuis. En 1982, Malamine quitte sa grande mère restée à Nièna son village natal, au Mali, pour atterrir à Saint Denis, cité des Francs-Moisins, en banlieue parisienne. Il a 10 ans, six frères et soeurs et ne parle que le Bambara. Malamine plonge dans l'univers Français et réussit un parcours scolaire exemplaire: il obtient son bac sans avoir jamais redoublé une classe, et deux ans plus tard un Deug de droit, Le jeune Franco-Malien entame une carrière de boxeur.
    En 1994 et 1995, il est champion de France amateur, et est présélectionné pour le jeux olympique d'atlanta. Puis tout bascule suite à un grave accident de voiture.
    A sa sortie d'hôpital, il lance une marque d'équipements sportifs, fruit de sa rage de vaincre. En 1999 ses premières créations sont fin prêtes: des maillots décorés d'une panthère, bien visible.
    Il pousse la porte de plusieurs magasins de sport avant que le premier n'accepte de les prendre en dépôt-vente.
    Le succès est fulgurant: Toutes les pièces seront vendues en seule journée. La panthère court sur les chemins de la réussite. Malamine KONE s'engouffre dans le vide juridique laissé par les géants de l'équipement sportif. Hors stade, les footballeurs ne sont habituellement plus sous contrat avec leurs équipementiers.
    Il en profite pour mettre sous contrat son amis Steve Marley, puis Djibril CISSE et Didier DROGBA avec qui il aura 3 ans de collaboration éfficace. Le système KONE est bien rodé et occupe une place enviable par les plus grands.
    AIRNESS a un chiffre d'affaires qui dépasse celui de Reebok. Alors forcement on est plus crédible et les invitations viennent maintenant de partout.... dit-il
    La stratégie Airness est simple: une équipe de designers et de communicants conçoit les produits et s'occupe de leur marketing.
    Et ce sont ses partenaires industriels qui fabriquent et distribuent ses créations. Malgré le succès, la panthère n'oublie pas ses racines africaines. " je sais d'ou je viens. Je suis né près de Sikasso... je remercie la France de m'avoir accueilli et de m'avoir donné la chance, mai je suis malien avant tout" affirme le roi de Airness, l'homme à la tête froide.
    Malamine s'investit désormais dans le développement du continent en participant à la construction, par exemple: des écoles, des dispensaires au Mali. Ou encore en prenant sous sa griffe l'équipe nationale de football de son pays d'origine.
    Airness est une véritable réussite avec une variété de produits dérivés, dont même dont un téléphone portable.
    http://economie-leader.blogspot.com/2008/02/la-panthere-de-business.html MA">http://economie-leader.blogspot.com/200 ... V SALAMMM
    Dernière modification par Maigus le août 19, 10 11:33 am, modifié 1 fois.



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    Message par Maigus » août 19, 10 12:18 pm

    Diaspora intellectuelle, scientifique et technique : le Mali initie un forum
    Par David DEMBELE - 29/07/2010
    Ouvert ce matin au Centre international de conférence de Bamako, le Forum de la diaspora intellectuelle, scientifique et technique permettra un échange entre le Mali et sa diaspora
    La grande salle du Centre international de conférence de Bamako a servi de cadre à la cérémonie d'ouverture officielle du Forum de la diapora intellectuelle, scientifique et technique. C'était sous la présidence du président de la République Amadou Toumani Touré, en présence du président du Haut Conseil Malien de l'extérieur (HCME), du ministre de l'intégration africaine, Badra Alou Maccalou...

    Ils étaient nombreux ces personnes à signifier de leur présence lors de la cérémonie d'ouverture de ce Forum qui durera 3 jours. "Aucun développement ne peut être atteint sans le concours de l'ensemble des forces vives de la nation". C'est fort de ce principe que le Gouvernement du Mali, à travers le Ministère des maliens de l'extérieur, entend mettre à contribution l'ensemble de sa diaspora . D'où la tenue d'un Forum en l'honneur de la diaspora intellectuelle et scientifique. Nombreux sont-ils, les intellectuels maliens qui gravitent à l'échelle internationale. Entre autres, il faut citer le navigateur interplanétaire Cheick Modibo Diarra, le Docteur Madiassa Magiragua de la NASA, le Pr Djola Bagayoko (lauréat du prix des états unis pour les mathématiques).

    Ce Forum entend donc offrir un cadre de dialogue formalisé entre la diaspora intellectuelle et l'Etat malien. C'est autour de 3 thématiques que se déroulera le premier Forum de la diaspora intellectuelle, scientifique et technique. Le Forum procédera entre autres à l'examen des contraintes liées à la mobilisation des ressources humaines de la dispora. Aussi, il sera question de la mise en réseau entre les personnes ressources de l'intérieur et de l'extérieur.



    Au cours de la cérémonie, l'assistance a pu visualiser le documentaire qui illustre le bien fondé du présent Forum. Le Forum vise à renforcer la contribution des intellectuels de la diaspora dans le développement socio-économique du pays. Sur la base de concertations ouvertes, il créera une complicité positive entre les intellectuels de l'intérieur et ceux de l'extérieur. Rappelons que chaque année, les ressources humaines maliennes de la diaspora contribuent dans de nombreux secteurs de la vie socio-économique. La dispora en général et injecte annuellement plus 300 milliards F CFA dans l'économie malienne.

    Pour le Dr Badra Alou Maccalou, ce forum n'a pas été initié pour denoncer le phénomène de la fuite des cerveaux, mais pour exploiter au mieux les ressources humaines que constituent la diaspora.
    Ainsi, dit-il, la diapora malienne dans son ensemble a toujours été sensible et réactive à toutes les initiatives. C'est le rendez-vous du donner et du reçevoir. "Il faut une necessaire complementarité et solidarité entre les citoyen d'un meme pays".Le président ATT, dans son discours, a magnifié toute l'importance de la dispora intellectuelle au sein des communautés scientifiques de l'extérieur. D'où l'invite à en faire autant pour le Mali.

    MA SALAMMM

    Dernière modification par Maigus le août 19, 10 12:21 pm, modifié 1 fois.



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