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La predation occidentale dans toutes ses formes

L'arbre à palabre où tous les problemes se reglent
Eburneenne 3
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Message par Eburneenne 3 » juil. 03, 17 3:35 am

Voici pourquoi le nouveau pont Henri Konan Bédié va bientôt s'écrouler, si l'Etat et la société exécutrice n'agissent pas vite. Mais avant de vous demontrer cela, je vous prie de lire ensemble avec moi la vraie histoire de ce pont. Ensuite, vous comprendrez pourquoi il s'écroulera car présentant trop de defaillance et de defauts dans la precipitation du predateur Bouygues et son pantin DAO rebelle 1er volmentu de se donner de la contenance qu'ils n'auront jamais.
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Nous sommes sous le règne du président Bedié.

Bedie-Tidiane Thiam-BNETD-Bouygues

Le Pont Henri Konan Bedie dont la première pierre a été posée à Abidjan le mercredi 7 septembre 2011, à grand renfort de publicité, est un projet initialement connu sous le nom de Pont Riviera-Marcory, dans le cadre ''des 12 travaux de l’Eléphant d’Afrique'' du régime du président Bédié déjà en 1996.

En 1996 donc, pour cet important projet, la maîtrise d’œuvre est confiée au Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) dirigé à l'époque par Thiam Tidiane. Monsieur Thiam Tidiane designe alors son ingenieur, le plus experimente de ce secteur, pour la conduite technique du projet.
Compte-tenu des difficultés financières que rencontrait l'État de Côte d'Ivoire, une équipe technique entièrement ivoirienne, composée de juristes, d’économistes, d’ingénieurs, d’environnementalistes, de sociologues et de spécialistes de marché, proposa un BOT (Built, Operate and Transfert ; le BOT consiste à attribuer un projet par le biais d'appel d'offres à un opérateur privé qui le finance. Ce dernier se rembourse à travers une concession pour une période déterminée). Le projet est alors confié à un opérateur privé en charge de mobiliser le financement nécessaire à la réalisation du projet, et le remboursement devait par conséquent être assuré par un péage imposé aux automobilistes. Un appel d’offres est lancé à cet effet et le groupe Bouygues est choisi comme l’opérateur technique et financier du projet. Une convention de concession est signée après plus de deux ans d’études et de négociation. Le coût du projet est négocié à 91.8 milliards de FCFA avec une concession de 30 ans intégrant les frais financiers, les assurances et les différentes marges bénéficiaires.

Pour la réalisation du projet, le groupe Bouygues met en place une société privée de droit ivoirien (SOCOPRIM) conformément à la convention de concession. Le capital de SOCOPRIM est fixé à 28 milliards de FCFA, détenus par le groupe Bouygues (16 milliards de FCFA), l’Etat de Côte d’Ivoire (4.9 milliards de FCFA), la CAA (1.2 milliards de FCFA), le groupe TOTAL (1.25 milliards de FCFA), et le groupe DEG (4.65 milliards de FCFA). Des bailleurs de fonds sont contactés pour mobiliser le reste du financement nécessaire pour couvrir le coût du projet dont la SFI (21 milliards de FCFA), la BAD (18 milliards de FCFA), la CAA (2.8 milliards de FCFA), la BOAD (6 milliards de FCFA), le groupe PROPARCO (10 milliards de FCFA). Le BNETD propose en outre un échangeur sur le boulevard Giscard d'Estaing pour éviter tout engorgement sur le pont Riviera-Marcory et faciliter ainsi, l’accès au dit boulevard. Coût de l’échangeur : 10 milliards de FCFA financés par l’AFD (4 milliards de FCFA) et la BOAD (6 milliards de FCFA).

L’étude d’impact environnemental et le plan de déplacement et de réinstallation de la population occupant l'emprise du projet (l'emprise est l'emplacement du pont, des voies de raccordement et de l'échangeur) sont évalués à 6 milliards de FCFA entièrement à la charge de l’État de Côte d’Ivoire.

Le projet final comprend donc un pont de 2 fois 3 voies avec un trottoir, une digue, une voie de raccordement au boulevard Giscard d'Estaing, une voie de raccordement au boulevard Mitterand. Le délai de réalisation est estimé à 24 mois, le début des travaux est fixé à fin décembre 1999.

La mobilisation du financement du projet « Pont Riviera-Marcory » étant bouclée, la mise en œuvre du projet pouvait alors démarrer  justement par le plan de déplacement et de réinstallation des occupants de l’emprise du projet. Ce volet prend fin avant le 24 décembre 1999.

Cette opération de déplacement et de réinstallation qui touche le secteur informel, permet de réinstaller de petits commerçants, de petits artisans et des propriétaires de maquis qui deviennent par une juste compensation des pertes, des petites et moyennes entreprises prospères. Ce qui est différent, aujourd'hui, des destructions massives sans contrepartie du regime actuel qui accroît la pauvreté. C’est dans l’attente du démarrage effectif des travaux que le coup d’État du 24 décembre 1999, des "jeunes gens" dirigés par le regretté Robert Guei, a eu lieu.

A la suite de ce coup d’État qui chassa le president Bédié du pouvoir, les bailleurs de fonds suspendent bien évidemment leur financement. Le projet est ajourné pendant la période de transition.
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Nous sommes sous le règne de Laurent Gbagbo​

GBAGBO-AHOUA DON MELLO-BNETD-BOUYGUES

Après l'élection du Président Laurent Gbagbo, en Novembre 2000, notre modeste personne est nommée à la tête du BNETD ( Nous choisissons de reconduire l’équipe projet pour son expérience inestimable et les compétences avérées de ces membres).

Le projet est aussitôt relancé. L’équipe-projet le réévalue en tenant compte de l’inflation. Cette réévaluation a mis en évidence un surcoût de 10 milliards de FCFA qui risquait d’avoir un impact sur le prix du péage et le délai de concession, pour absorber le surcoût, l’équipe-projet propose une solution alternative : la construction d’un pont semi-métallique.

La proposition technique validee, elle est aussitôt présentee au Président Laurent Gbagbo qui émet, somme toute, des reserves sur un pont à peage au cœur d'Abidjan !!! Il demande néanmoins de reprendre les négociations avec l’opérateur technique et financier Bouygues et d’étudier parallèlement une solution sans péage.

Les bailleurs de fonds demandent que les relations entre la Côte d’Ivoire et le FMI soient rétablies avant de donner leur feu vert. Le ministère de l’Economie et des Finances conduit avec succès le programme intérimaire arrêté avec le FMI. Un programme triennal est conclu en mars 2002. Sa bonne exécution devait conduire à la conclusion du PPTE à la fin du programme. Une mission est prévue pour le 20 septembre 2002 à Washington pour poursuivre les échanges avec le FMI.

C’est alors qu'un autre coup d’État en Septembre 2002 est tenté avec comme objectif des conspirateurs d'emmener Alassane Dramane Ouattara au pouvoir. Le coup d’État manqué se transforme alors en rébellion et suspend une fois de plus le démarrage du Pont Riviera-Marcory. Les bailleurs de fonds suspendent encore évidemment, leur collaboration avec la Côte d’Ivoire.

Après toutes ces péripéties, le Président Laurent Gbagbo demande qu’une solution interne de financement soit trouvée et que le péage soit définitivement écarté.

Le BNETD s’en remet au ministère de l’Economie et des Finances qui a en charge la recherche de financement. Le ministère propose donc un compte-séquestre à la BNI alimenté par un prélèvement sur le pétrole et un appel public à l’épargne garanti par le compte-séquestre.

Un opérateur chinois propose au BNETD une solution technique à 60 milliards de FCFA.

Le BNETD se propose, sur cette base, de négocier avec l’opérateur Bouygues soit la transformation du contrat de concession en marché public soit la rupture du contrat et l’évaluation des dommages et intérêts.

Au vu, de la proposition chinoise, la rupture du contrat est avantageuse pour l’État Ivoirien. D’une pierre la Côte d’Ivoire peut réaliser deux coups : 1/réaliser un projet moins cher sur fonds propres 2/ éviter le péage en plein cœur d’Abidjan dans un contexte de pauvreté accentuée.

À la faveur du point de décision du processus PPTE avec les bailleurs de fonds obtenu en 2009, le ministère de l’Economie et des Finances marque son accord pour la mobilisation interne du financement. Cela suppose la réévaluation du projet pour définir le montant à mobiliser, la constitution d’un dossier de consultation des entreprises et la rupture du contrat de concession.

La réévaluation du projet est achevée en 2010. Le gouvernement Ivoirien décide de maintenir l’opérateur Bouygues sur la construction de l’échangeur du boulevard Giscard d'Estaing et de négocier la rupture du contrat de concession sur le pont. Une avance de démarrage est payée par l’État Ivoirien pour la construction de l’échangeur.

Le démarrage des travaux est plusieurs fois reporté avec à chaque fois différents prétextes jusqu’au coup d’État de la France du 11 avril 2011.

Pour écarter l’expertise Ivoirienne, ADO fait revenir, Serey Eiffel, le dernier directeur général français du BNETD (1990-1994) comme conseiller spécial à la Présidence de la République pour les affaires économiques après son passage au Gabon où il a dirigé la société écran d’Alassane Dramane Ouattara : l’institut international pour l’Afrique (IIA). Le projet du pont Riviera-Marcory est relancé en écartant la solution sans péage du Président Laurent Gbagbo. Alassane Dramane Ouattara reconduit le projet initial réévalué à 125 milliards de FCFA avec à la clé un péage de 700 FCFA par véhicule et par passage, dans un contexte de pauvreté généralisée. La mise à l’écart des solutions du BNETD signe certainement le retour de l’expertise française en Côte d’Ivoire avec pour corollaire le renchérissement des coûts de tous les projets en portefeuille pour lesquels les études ont été déjà bouclées par le BNETD durant les années de crise, sur ressources propres issues du déploiement du BNETD en Afrique. Ces dossiers « prêts à porter » constituent une « banque » de près de 200 projets et ont permis de gagner du temps lors de la mise en œuvre du pont de Jacqueville, de l’autoroute du nord, de la route Boundiali-Tingrela, du transfert de la capitale, de la réhabilitation de l’Hôtel Ivoire et du programme d’urgence dans le cadre du rétablissement des relations avec les bailleurs de fonds en 2009.

Dépouiller le peuple Ivoirien pour garantir les intérêts de la france-afrique, lutter contre la concurrence des pays émergents, le pont Henri Konan Bedie est l’expression de cette nouvelle alliance entre la France et la Côte d’Ivoire et à terme, entre l’Occident et l’Afrique et le retour en force des conseillers occultes français car on n’est mieux servi que par soi-même, dit l’adage. Le mode opératoire de ce pont marque le point de départ de la Solution ADO dans le secteur des grands travaux en Côte d’Ivoire et le futur visage français de l’économie ivoirienne avec le financement françafricain occulte de l’Elysée. Nous sommes en plein dans la devise de la france-afrique: "Ce qui est bon pour la France est obligatoirement bon pour l'Afrique".

Au moment où les Ivoiriens souffrent d'une pauvreté accentuée par l'incapacité du régime d'Alassane Dramane Ouattara à payer les salaires, d’une extermination des micro-entreprises, d'un affaiblissement du portefeuille des petites et moyennes entreprises qui accroît chaque jour le nombre de chômeurs et ne parlons pas de l'insécurité chronique. Au moment où les Ivoiriens sont soignés gratuitement mais sans médicaments. C'est ce moment qu'Alassane Dramane Ouattara et le groupe Bouygues choisissent pour construire un pont à péage à 700 F CFA le passage et par voiture, là où le Président Gbagbo proposait un projet deux fois moins cher et sans péage, pour faire avaler la pillule au PDCI, ils ont donné le nom du président Bédié au pont, comme par hasard, le déblocage de fonds qui a suivi pour lancer les travaux et toute cette effervescence autour du pont coïncident avec l'approche des élections en France, cela rappelle étrangement toutes ces affaires de france-afrique avec leurs rétro-commissions.

Les divergences d’approche du développement de la Côte d’Ivoire et la prise en compte stricte des intérêts des Ivoiriens par le Président Laurent Gbagbo sont la cause fondamentale de l’emprisonnement du Président légal et légitime de la République de Côte d’Ivoire par la françafrique.

Par Ahoua Don Mello, Docteur-Ingénieur des Ponts et Chaussées de Paris, ex DG du BNETD 2000-2010, ministre de l’équipement et d’assainissement du gouvernement Gilbert Ake N'Gbo​.

Les predateurs occidentaux et leurs pantins DAO rebelle 1er volmentu, Bedie, Soro le criminel, leur alliance
neocoloniale RHDP et leur pont defaillant, tout ce boucan de la predation occidentale pour en
arriver la.
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Message par Eburneenne 3 » juil. 03, 17 4:14 am

Les predateurs occidentaux sont d'un cynisme inegale. Leur nouveau mode operatoire, c'est de mettre des etrangers a la tete de chaque territoire en Afrique. Des personnes soumises, complexees vis avis du leucoderme et qui n'ont aucun lien affectif avec le peuple, qui ne vivent que pour leurs longues panses d'eternels affames et qui n'en ont cure du devenir du continent qui les a vu naitre. C'est comme cela que les predateurs occidentaux ont decide d'agir maintenant. Ils chassent les souverainistes du pouvoir avec le concours de negres de service et les remplacent par des apatrides genocidaires, politiquement médiocres , histoire de tenir la population en laisse afin de voler
toutes les richesses du sous-sol du pays convoité.

Le garde du corps derriere Paul Kagame a l'epoque chef de la rebellion Tutsi au Rwanda, n'etait autre qu'Hippolyte Kayambe, aujourd'hui president de la RDC sous le nom de Joseph Kabila. Comment est-il devenu Joseph Kabila??? un Rwandais reconverti en Congolais de la RDC, c'est la nouvelle trouvaille des predateurs occidentaux. Les predateurs occidentaux ne sont pas a leur premiere imposture avec Alassane Dramane Ouattara.https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" width="500" height="457" frameborder="0">
Dernière modification par Eburneenne 3 le août 01, 17 11:23 am, modifié 1 fois.
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Message par Eburneenne 3 » juil. 04, 17 4:05 am

Voici ce que donne la democratie a la sauce occidentale.

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Message par Eburneenne 3 » juil. 07, 17 5:03 am

La face hideuse de la haine des soit-disants intellectuels occidentaux envers les Africains. Quand je pense que j'ai perdu mon temps par le systeme educatif colonial impose aux territoires d'outre-mer a etudier de tels haineux (le racisme est un euphemisme car ces gens-la, ont une haine qui dit son nom pour les Africains), j'ai envie de rendre. C'est vraiment nauseeux!!!https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" width="500" height="699" frameborder="0">
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Message par Eburneenne 3 » juil. 10, 17 7:53 am

La présence de bases militaires franco-onusiennes en Afrique est une tumeur cancéreuse qui a besoin d'une opération chirurgicale, avec leurs armes, ils detectent les endroits les plus riches du continent et procèdent au vol, aux pillages des ressources naturelles. Les bases militaires françaises organisent les braquages des banques comme la BCEAO, ces bases rançonnent les chefs d'Etat africains, leurs sous-prefets avec toujours le fallacieux prétexte d'avoir déjoué des coups d'Etat qu'elles mêmes organisent (cas du chantage fait à Idriss Deby, il y a peu de temps). Africains, unissons-nous pour chasser définitivement les voleurs de soldats français de l'Afrique par tous les moyens. Les armées françaises aux motifs d'accords caduques signés il y'a plus de 50ans avec le fusil sur la tempe, justifient le pillage honteux des ressources Africaines en semant tristesses et désolation dans le berceau de l'humanité qu'est notre continent,  ô combien de fois riches mais dont les peuples sont appauvris de plus en plus. Les bases militaires françaises constituent la poliomyelite de l'Afrique et surtout de l'Afrique parlant français. Boutons-la hors du continent!!!

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Message par Eburneenne 3 » juil. 14, 17 8:38 am

Le massacre des autochtones Wé dans le camp de Nahibly en Côte d’Ivoire: La complicité du machin ONU ou comment le machin ONU a favorise l’impunité et l’épuration ethnique en les cachant sous le tapis.

Depuis le début du conflit en Cote d’Ivoire, environ 30.000 personnes autochtones d’ethnie Wé ont été tuées par les forces favorables a Alassane Dramane Ouattara selon Comité de sauvegarde du patrimoine foncier Wé. Cette source évalue à 230 tués, l’attaque du camps de déplacés de l’ONU de Nahibly par les milices ethniques FRCI ( Rebelles) et dozos le 20 juillet 2012.

Ce massacre fait suite à ceux de Douékoué carrefour (2011) et Guitrozon (2005) qui avait également ciblé les Wé et qui avaient également eu lieu en présence des forces du machin ONU, par suite de l’épuration ethnique et de la colonisation de l’ouest ivoirien par des populations originaires des pays au nord de la Côte d’ivoire, la population étrangère serait passé de 37% lors du recensement de 1998 à 75% selon ce comité.

Une partie de la population Wé a fuit au Libéria, une autre partie se trouvait dans des camps de déplacés à l’intérieur de leur propre région. Le machin ONU les encourageait à rentrer dans leurs villages incendiés en réduisant leurs allocations de nourriture mais le rythme des départs était insuffisant du fait de l’insécurité régnant dans les campagnes ''sécurisées par les bandes dozos du boucher de Duékoué-carrefour, Amédée Ouéremi''.

Un massacre prévisible

Nul ne pouvait ignorer que les autorités et les milices étaient décidées à fermer les camps puisque le préfet de la ville avait fait des déclarations en ce sens en mars 2012. Le chef militaire de Douékoué, le lieutenant Koné Daouda dit Konda avait abondé dans le même sens : ''Nous n’allons pas rester les bras croisés pendant longtemps. Il faut que le site soit fermé pour éviter qu’il ne devienne le nid de malfaiteurs'', a-t-il dit. Ces déclarations ont été suivi par l’apparition de problèmes à l’intérieur du camp : ''A partir du mois de mars 2012, il y avait eu 14 attaques contre les travailleurs humanitaires dans le camp et, au mois de mai, le HCR a envoyé une lettre aux autorités relevant ces incidents en les informant que la distribution de vivres serait suspendue. Le 22 mai, des acteurs humanitaires ont été menacés par des individus au sein du camp'' a déclaré le patron de l'Onuci, Bert Koenders.

Une mission du machin ONU préconisait en mai 2012 de renforcer la clôture pour ''rendre plus difficile l’accès au camp par un autre lieu que le portail principal.'' Heureusement, cette mesure n’a pas été mis en oeuvre sans quoi nul n’aurait pu s’échapper lors de l’attaque du camp. La mission est arrivée à la conclusion que “le camp de Nahibly connaissait une situation sécuritaire dégradée par la présence très vraisemblable d’éléments perturbateurs de type bande armée, sans doute composée d’anciens miliciens ou militants ''gbagboistes'' de l’ethnie Guéré, dont certains ont été nommément identifiés.” . Plutôt que de chasser les perturbateurs probables nommément identifiés, la mission préconise l’ouverture d’un poste de police ivoirien à l’intérieur du camp, en plus de celui du machin ONU. Cette réponse ne sera pas mise en oeuvre par leurs pantins selon le machin ONU, peut être parce que ces autorités n’ont pas confiance dans la police qui a été pourtant désarmée.

Selon amnesty, l’attaque contre le camp ''est intervenue dans un contexte de stigmatisation croissante des personnes déplacées de la part aussi bien des autorités politiques et militaires locales que de certaines franges de la population. (…) Un ancien résident du camp a dit à amnesty international : ''Les Dozos et des habitants des villages environnants ne cessaient de nous dire : C’est à cause de Gbagbo que vous êtes là , on va vous tuer''.

Plusieurs sources ont également indiqué à amnesty international que, dans les semaines qui ont précédé l’attaque, il était devenu très courant d’entendre parler de la nécessité de faire disparaître le camp de Nahibly.

Une organisation méthodique

“Le 19 juillet 2012, la veille de l’attaque du camp, se serait tenue à l’hôtel Monhessia (un hôtel désaffecté de Duékoué occupé à l’époque par les FRCI ( Rebelles)) une réunion entre le lieutenant Konda, des dozos et des représentants des jeunes etrangers de la ville. Le même jour, une réunion similaire de dozos se serait déroulée à Guiglo au maquis Ketin. Ces dozos de Guiglo ''ont été amenés et ramenés ensuite après l’attaque du camp'', selon un témoin rapport FIDH.

Officiellement, c’est un événement fortuit qui a déclenché l’attaque du camp. Un braquage aurait fait 5 morts dans la nuit du 19 au 20 juillet au quartier Kokoman. Les jeunes allochtones auraient suivi des traces de sang menant jusqu’au camps pourtant fort éloigné. Ils prirent alors d’assaut le camp à 8 heures devant les caméras et en présence du préfet Benjamin Effoli et du lieutenant Daouda Koné.

Les 22 militaires et policiers du machin ONU qui gardaient le camp ne tenteront pas grand chose pour les en empêcher.

''Il était évident que nous n’étions pas capables de contrôler cette foule sans leur tirer dessus. Cela aurait presque certainement conduit à une explosion de violence et beaucoup de gens auraient été tués. Bien sûr, c’est ce qui s’est passé à la fin tout de même.'',  témoignage d’un officier onusien recueilli par amnesty international.

Le machin ONU déclara plus tard que ''La foule de “500 à 1.000” personnes qui est descendue sur le camp était un groupe organise'' , (…), que ''l'identité des assaillants faisait toujours l'objet d'une enquête” et que ces événements soulignait la nécessité de la restauration de l'autorité de l'etat à travers le pays (AFP 27 juillet 2012). Mais cet événement n’est-il pas une excellente illustration de l’autorité de l’etat et de l’immense talent des enquêteurs bredouilles du machin ONU???

Les rebelles saheliens et les milices tribales “dozos” ont procédé aux exécutions dans le camp, aux alentours et plus tard en brousse. “Dans ce chaos, les hommes, qui etaient particulièrement ciblés, ont tente de fuir. Certains par l’arrière du camp, d’autres par l’entrée principale. Ceux qui tentaient de fuir par l’arrière du camp ont été abattus par les dozos et des FRCI ( Rebelles) qui encerclaient le camp. Un témoin attesta qu’au moins 7 personnes ont été tuées dans les taillis à l’arrière du camp. L’UNPOL et l’ONUCI ont bien tenté de ratisser la zone après les faits, mais ''ils ont essuyé des tirs à ce moment, et n’ont pas pu accéder à la zone pendant les 7 jours qui ont suivi'' affirma une source interne. Lorsqu’ils ont pu enfin se rendre à l’arrière du camp, ''plus aucun corps n’était présent'', déclara, amère, ce témoin des événements.

''Pendant ce temps, le sort des hommes qui tentaient de fuir par l’entrée principale du camp n’etait pas meilleur : bastonnés et poursuivis, certains sont arrêtés par des éléments des FRCI ( Rebelles) ” FIDH.

Les personnes arrêtés, ont disparu définitivement pour la plupart et une femme a meme subi un viol collectif par les FRCI ( Rebelles). De nombreux témoignages ont fait état de cadavres emportes.

Un témoin permit la découverte d’une dizaine de puits contenant les corps de victimes des massacres. Un seul a ete fouillé, il contenait 6 corps. Les autres ont ete laissé en l’état ''pour préserver les preuves''.

La complicité du machin ONU

Lors du massacre de 2011 dans la même ville de Douékoué, les soldats du machin ONU avaient enterrés eux-mêmes plus de 800 corps mais comptés seulement 150 victimes. Une fois encore à Nahibly, le machin ONU a cherché à étouffer la polémique en donnant une estimation ridiculement faible du nombre de victimes. Bien qu’un bataillon du machin ONU stationne dans la ville, la zone du camp avait été “sécurisée” par les FRCI ( Rebelles) qui venaient de le détruire, empêchant les ONG d’y accéder pour compter les corps. Les lieux de détention n’ont pas été visités, ce qui aurait probablement permis de sauver les personnes arrêtées. Ainsi, Bert Kondoers a pu annoncer 11 morts en tout dont 5 victimes du braquage “déclencheur” du massacre. Les 6 corps trouvés dans le camps étaient des corps difficilement transportables, notamment 3 vieillards brûlés vifs. Le machin ONU, qui avait identifié les 4000 habitants du camp, n’a pas cherché à répertorier les survivants, les morts et les disparus et le bilan n’a jamais été réévalué. Les déplacés ont été promptement rapatriés dans leurs villages d’origines où leur sécurité n’etait pas assurée, sans parler de leurs éventuels témoignages. Selon la FIDH ''La disparition à l’issue de l’attaque du camp de Nahibly de plusieurs dizaines de personnes déplacées, ainsi que la confirmation de cas d’exécutions sommaires et extra-judiciaires, laissent donc entrevoir un bilan beaucoup plus lourd que les chiffres officiels.'' Les “pro-Gbagbo” évoquent 47 corps identifiés, 213 Wê tués et plus de 1000 disparus lors de l’attaque de Nahibly (Notre Voie 5 août 2012). Sans souscrire à leur évaluation que personne ne semble avoir voulu discuter, il faut reconnaître que le bilan onusien est très éloigné de la réalité et que cet aveuglement est volontaire.

Il y a comme une contradiction interne dans la déclaration de Bert Koenders, responsable de l’onuci en Côte d’Ivoire lors de la conférence sur l’impunité de fevrier 2013 lorsqu’il dit: ''C’est en brisant le cercle vicieux de l’impunité et en promouvant une justice équitable que l’on aboutira à rompre le cercle vicieux de la violence. Je voudrais à cet égard saluer l’engagement de son excellence Alassane Ouattara, le président de la république, et de son gouvernement, et noter l’ensemble des mesures prises et structures mises en place pour lutter contre l’impunité des crimes d’un passé récent.'', car le massacre de Nahibly a été commis avec la participation des pantins de l'oligarchie imperialiste regroupes au sein de l'alliance neocoloniale RHDP et rien n’a été fait pour en identifier les responsables. En saluant l’action du chef de l’État, Koenders a montre qu’il acceptait son inaction pour ne pas l’embarrasser. Tout le reste n’est que souhaits pieux et promesses de faire des ronds “vertueux” dans l’eau.

Vacuité du droit

Selon Haut Commissaire aux droits de l’homme, les peuples autochtones, ou peuples indigènes, sont: ''les descendants de ceux qui habitaient dans un pays ou une région géographique à l’époque où des groupes de populations de cultures ou d’origines ethniques différentes y sont arrivés et sont devenus par la suite prédominants, par la conquête, l’occupation, la colonisation ou d’autres moyens.''

Maintenant, qu’il est minoritaire sur sa propre terre, le peuple Wé devrait donc bénéficier de toutes les garanties offertes par la “Déclaration des nations-unies sur les droits des peuples autochtones”, notamment en matière de droit à la terre. Mais, c’est une pure comedie parce que les autochtones réfugiés dans des camps ont ete massacrés sous les yeux du machin ONU. Dans ces conditions, lorsque Koenders appelle luers pantins de l'alliance neocoloniale a résoudre les conflits fonciers en votant une loi à ce sujet, il ne fait que l’inciter à donner une légalité à la spoliation.
Source: legrandsoir.info

Voici la preuve que l'attaque de Nahibly a été bien planifie, le corps préfectoral au grand complet, des casques bleus en spectateurs ont  assiste aux massacres des déplacés qui fuyaient les exactions des zozos dramaniens a l'interieur du camp.https://www.youtube-nocookie.com/embed/AxevHdglfZM" allowfullscreen="" width="560" height="315" frameborder="0">
Les Ivoiriens et partant les Africains doivent se debarasser du m'a-tu vuisme. Nous nous sommes assez amuses. Ca suffit, reveillons-nous!



Lagohayou
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Message par Lagohayou » juil. 14, 17 9:28 am

La predation ne s'arretera que si l'africain prend son courage a deux main pour affronter frontalement son ennemi quel qu'il soit ( cad endo ou exogene ).

Si vous suivez les commentaire et presentation de la soldatesque francaise à l'occasion de ce 14 juillet 2017 il ne vous aura pas echappé les eloge qui lui est faite quand à son role sur le sol afrcain. Et d'ailleurs concernant le cas de la CI de GBAGBO une nième attaque se prepare contre elle lorsque la france projete d'y envoyer dans les jours qui viennent un bataillon d'artillerie avec ce fameux canon César dont l'eloge nous est aussi faite lors de ce defilé. :x
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Message par Lagohayou » juil. 14, 17 9:28 am

doublon

a supprimer
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Message par Eburneenne 3 » juil. 16, 17 4:08 am

Ce n'est pas une campagne contre le cancer du sein,Pauline Opango Lumumba, l'epouse de Patrice Lumumba mise nue et humiliée dans les rues de Leopoldville après l'assassinat de son époux le 17 janvier 1961 par les predateurs occidentaux et leur pantin Joseph-Désiré Mobutu alias Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Za Banga qui etait tres proche de Lumumba comme le pantin Blaise l'etait de Thomas Sankara. La similitude avec le sort que les marionnettes DAO rebelle 1er volmentu, Soro le criminel, Bedie, leur alliance RHDP et leurs rebelles saheliens ont réservé à la Premiere Dame Legitime et Legale de la Cote d'Ivoire Simone Ehivet Gbagbo est frappante. C'est aux Africains de le comprendre et de se reveiller car les predateurs occidentaux emploient toujours les memes methodes pour humilier les souverainistes africains avec l'appui de pantins africains qui sont prets a humilier d'autres Africains par adoration de mammon (dieu argent) et complexe vis a vis du leucoderme.https://www.facebook.com/plugins/post.p ... ;width=500" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" allowtransparency="true" width="500" height="503" frameborder="0">
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Message par Eburneenne 3 » juil. 16, 17 4:12 am

Un seul soldat francais en Afrique, garantit les interets des predateurs occidentaux. Tant qu'il y aura des soldats francais et autres sur notre sol, nous serons toujours dépendants des predateurs occidentaux, donc le mot indépendance dans la bouche des predateurs occidentaux n'est qu'un simple vocable qui a pour objectif d'endormir les Africains en vue de mieux voler nos ressources naturelles. Independants, nous ne le sommes pas, ne nous leurrons pas!!!

L'Africain ne peux pas se libérer tant qu'il n'est pas capable de connaître et cibler son ennemi et l'écraser sur son sol s'il y a lieu de le faire. Ces predateurs occidentaux arment les cupides et les personnes egoistes, sans valeur, integrite et aucune dignite pour qu'ils massacrent d'autres Africains pour le compte de l'oligarchie imperialiste, l'hydre hideuse.
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