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La France et les impots

Publié : sept. 04, 18 12:19 pm
par Martin Féral

La France veut faire prélever ses impôts par les entreprises et ses structures de l’état au paiement des salaires et autres émoluments chaque fin de mois. Mais suivant les écrits qui nous parviennent, le gouvernement français a un problème technique. En d’autres termes les algorithmes ne tournent pas rond et ont des bugs.

Sur ce coup, je pense qu’on n’invente pas ce qui existe déjà. Par exemple, les africains particulièrement en Côte d’Ivoire l’on n’a pas cherché à inventer le téléphone fixe puis le téléphone mobile. On a demandé à France télécom de venir installer ses équipements et depuis lors nous avons lestéléphones portables que nous souhaitons.

Alors concernant leurs impôts, je dirai aux français qu’il n’y a pas de honte à venir dans sa colonie de Côte d’Ivoire et acheter les
solutions qui existent déjà. Ici en Côte d’Ivoire c’est une tradition de voir nos impôts prendre tout notre salaire chaque fin de mois. On peut donc leur envoyer nos informaticiens. Les français nous rétorqueront peut être que quand les ordinateurs ont prélevé les impôts, on ne sait plus où ça va.

Mais parlons sérieusement, pourquoi les français veulent inventer ce qui existe déjà ?

MF


Publié : sept. 04, 18 6:51 pm
par webmaster
Donc ce sont pas les franssssais qui ont installe ce systeme en Afrique aux lendemains des "independances"?

Re:La France et les impots

Publié : sept. 05, 18 11:11 am
par Martin Féral

Webby, ce qui n’existe pas dans ta culture, ou à l’origine
dans ton environnement, tu ne sais pas lui donner un nom.



Si à l’indépendance Houphouet a jugé plutôt utile pour son
pays de procéder par le prélèvement à la source, c’est qu’il s’est donné les
moyens et ça a marché. Ca pu être l’œuvre d’informaticiens occidentaux. Soit,
mais surement des contacts personnels de vieux féfé. Ecrire un algorithme, c’est
de l’imagination. Webby, tu peux demander à tous les informaticiens, si tu n’es
pas l’auteur d’un algorithme, il te sera difficile d’en déceler les subtilités.



MF